cartonnage.
Publié le 07/12/2021
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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : cartonnage.. Ce document contient 369 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Dictionnaire
cartonnage. n. m., ensemble d'activités concourant à la fabrication des objets en carton. Les cartons sont le plus souvent élaborés comme
des papiers de structure plus ou moins grossière. On trouve généralement, en amont d'une usine de fabrication de carton, des installations de
production de pâte. La différence avec la fabrication du papier réside dans l'éventail des choix de matières premières, qui peut s'ouvrir à des
produits qu'on ne trouve pas dans les papiers de qualité, et dans le niveau d'élaboration des pâtes qui peuvent conserver trace de la structure
initiale des matériaux utilisés. Certains cartons portent ainsi des noms particuliers : le carton-pâte, ou carton gris, est produit à partir d'une pâte
de vieux papier et de rognures de cartons recyclés fortement additionnées de colles ; le carton-cuit est obtenu à partir d'une pâte de bois
arrêtée à un stade d'élaboration très antérieur à celui des pâtes de cellulose ; le carton-paille est élaboré à partir d'une pâte de paille où
subsistent les traces de la texture d'origine ; le carton-feutre est fabriqué à partir d'une pâte de déchets textiles ayant conservé leurs fibres, ce
qui confère au produit une structure poreuse ; le carton-pierre est produit à partir de pâtes diverses, mais spécialement durcies, etc.
En dehors des cartons-pâtes destinés au moulage et qui sont livrés « en masse «, les cartons sont généralement présentés en feuilles,
simples, duplex ou triplex. L'une des couches du carton duplex ou la couche centrale du carton triplex peut être ondulée. Le carton-feutre est
généralement enduit de goudron qu'il absorbe ; on l'appelle alors improprement carton bitumé.
Les usages.
Ils sont très variés : objets moulés en carton-pâte, éléments de décoration et cartes en relief en carton-pierre éventuellement embouti,
isolation des toitures en carton bitumé, couvertures rigides et bon marché de livres, etc. L'usage très largement dominant reste toutefois celui
de l'emballage semi-rigide, dans les boîtes elles-mêmes appelées « cartons « ; il a donné lieu au développement d'une industrie de
transformation spécifique, la fabrication des emballages, qui bénéficie d'une demande en constante augmentation faute de concurrents dans
ce registre et, en raison des capacités de recyclage des cartonneries, ne souffre pas des incertitudes qui pèsent à long terme sur l'industrie du
papier.
Complétez votre recherche en consultant :
Les corrélats
papeterie
papier
cartonnage. n. m., ensemble d'activités concourant à la fabrication des objets en carton. Les cartons sont le plus souvent élaborés comme
des papiers de structure plus ou moins grossière. On trouve généralement, en amont d'une usine de fabrication de carton, des installations de
production de pâte. La différence avec la fabrication du papier réside dans l'éventail des choix de matières premières, qui peut s'ouvrir à des
produits qu'on ne trouve pas dans les papiers de qualité, et dans le niveau d'élaboration des pâtes qui peuvent conserver trace de la structure
initiale des matériaux utilisés. Certains cartons portent ainsi des noms particuliers : le carton-pâte, ou carton gris, est produit à partir d'une pâte
de vieux papier et de rognures de cartons recyclés fortement additionnées de colles ; le carton-cuit est obtenu à partir d'une pâte de bois
arrêtée à un stade d'élaboration très antérieur à celui des pâtes de cellulose ; le carton-paille est élaboré à partir d'une pâte de paille où
subsistent les traces de la texture d'origine ; le carton-feutre est fabriqué à partir d'une pâte de déchets textiles ayant conservé leurs fibres, ce
qui confère au produit une structure poreuse ; le carton-pierre est produit à partir de pâtes diverses, mais spécialement durcies, etc.
En dehors des cartons-pâtes destinés au moulage et qui sont livrés « en masse «, les cartons sont généralement présentés en feuilles,
simples, duplex ou triplex. L'une des couches du carton duplex ou la couche centrale du carton triplex peut être ondulée. Le carton-feutre est
généralement enduit de goudron qu'il absorbe ; on l'appelle alors improprement carton bitumé.
Les usages.
Ils sont très variés : objets moulés en carton-pâte, éléments de décoration et cartes en relief en carton-pierre éventuellement embouti,
isolation des toitures en carton bitumé, couvertures rigides et bon marché de livres, etc. L'usage très largement dominant reste toutefois celui
de l'emballage semi-rigide, dans les boîtes elles-mêmes appelées « cartons « ; il a donné lieu au développement d'une industrie de
transformation spécifique, la fabrication des emballages, qui bénéficie d'une demande en constante augmentation faute de concurrents dans
ce registre et, en raison des capacités de recyclage des cartonneries, ne souffre pas des incertitudes qui pèsent à long terme sur l'industrie du
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