Biographie d'Emile ZOLA

« Biographie d’Emile ZOLA I.

Emile ZOLA De nationalité française, Emile ZOLA (ou Emile Edouard Charles Antoine ZOLA) naît le 2 avril 1840 à Paris.

Il est contemporain de Monnet, Flaubert, son ami Paul Cézanne… C’est un écrivain et journaliste du XIX ème siècle.

C’est le 29 septembre 1902 qu’il meurt prématurément d’une asphyxie accidentelle. II.

Genre littéraire Emile ZOLA a été romancier, journaliste, dramaturge, poète lyrique et nouvelliste. III.

Ses œuvres Genre : romans journaux Pièces de théâtre Poésies lyriques nouvelles Œuvres : Thérèse Raquin (1867) J’accuse (1898) Thérèse Raquin (1873) Messidor (1898) Les contes de Ninon (1878) Madeleine Forat (1868) Perrette (1861) L’ouragan (1901) L’attaque du moulin (1880) Germinal (1885) Madeleine (1865) Les Soirées de Médan (1880) NB : il écrit également plusieurs recueils.

Par exemple : « Les Rougon-Macquart » (le principal), « Trois villes » (Rome, 1896 ; Lourdes , 1894 ; Paris , 1897) et « Les Quatre Evangiles » ( Fécondité , 1899 ; Travail , 1901 ; Vérité , 1903 et Justice ) mais ce dernier n’a pas pu être achevé à cause de la mort de l’auteur. IV.

La vie d’Emile ZOLA Dès sa naissance, Emile ZOLA est confronté aux problèmes que lui pose le travail.

Il n’avait pas encore sept ans lorsque son père, François ZOLA originaire d’Italie, est décédé.

Lui et sa famille vivaient dans des conditions très difficiles.

Emile échoue deux fois à son bac, puis à vingt ans, il abandonne ses études pour travailler.

Il est d’abord dans les Douanes, puis dans une grande maison d’édition où il se fait remarquer pour son intelligence.

Mais son rêve de devenir écrivain le reprend, et, après et des journaux, il conçoit un ensemble de romans qui retraceraient l’histoire, sur plusieurs générations, de toute une famille assez modeste, les Rougon-Macquart, originaires de Provence.

Il devient le chef de file du naturalisme, c’est l’un des romanciers français les plus populaires.

L’article J’accuse dans le journal « L’Aurore » lui a valu un procès du 7 au 23 février 1898.

Condamné par la cour d'assises de Versailles à un an de prison et 30 000 francs d'amende pour avoir attaqué le président de la République Félix Faure.. »