Bel-ami

« La chronologie : comment Duroy va-t-il faire pour parvenir à son but ultime ? Nous pouvons constater au début du livre a la page 15 que « On était au 28 juin, il lui restait juste en poche 3.40 pour finir le mois, cela représentait 2 dîner, sans déjeuner, ou 2 déjeuner » que l’argent est l’un des grands thèmes de ce roman.

Car Duroy arrive dans la ville de paris en n’ayant pas d’argent pas de repère a partir de tout cela Duroy va construire sons ascension dans le monde, l’objectif de cette homme et d’être riche, le plus riche.

Ensuite a la page 18 Duroy se promène dans les rues de Paris et remarque tous ces bourges qui boivent leurs bières sans soucis d’argent et cela crée une jalousie chez Duroy comme on peut le constater « Une colère l’envahissait contre des gens assis et tranquille en fouillant leur poche, en trouverait de l’or, de la monnaie blanche et des sous.

En moyenne chacun devrait avoir en moins deux louis ils étaient bien une centaine par café, cent fois deux louis font 4000.- » Il s’imagine combien ces bourges ont dans leur poche.

Cette envie d’argent devient oppressante pour lui et une colère lui surgit. A la page 24, Quelque minute plus tard forestier fais son apparition il l’invite à boire un verre nous pouvons voir que Duroy n’a lui pas assez d’argent il finit alors par l’invité.

Mais Forestier lui boit vite alors que Duroy prend son temps afin de bien apprécier cette boisson car il n’a pas d’argent et peut être pourrait être la dernière fois qu’il boira une boisson de la sorte « deux bocks ! et il avala le sien d’un seul trait tandis que Duroy avala buvait la boisson à lentes gorgées, la savourant et la dégustant, comme une chose précieuse et rare » MME Walter et ARGENT Quelque jour plus tard Duroy se fait alors invité par Forestier afin de faire un diner avec ces amis il cite alors a la page 41 « tout le monde s’inclina vers le patron qui souriait et Duroy gris de triomphe bu d’un trait (…) il était chez lui, maintenant, au milieu de ses gens ; il venait d’y prendre position d’y prendre sa place » la confiance lui vient petit a petit il se considère maintenant comme quelqu’un d’important plus quelqu’un de la classe ouvrière. Mais au final Duroy n’en peut plus d’avoir cette vie-là.

Il veut maintenant vivre sa meilleure.

A la page 47« Cela sentait la misère honteuse, la misère en garnis de Paris.

Et une exaspération le souleva contre la pauvreté de sa vie.

Il se dit qu’il fallait sortir de la, tout de suite, qu’il fallait en finir dès le lendemain avec cette existence besogneuse » Mais finalement Duroy fini par être perdu car pas il ne sait pas comment il va atteindre son but ultime, par ou passer afin d’être considéré comme une personne haut passer.

Pour atteindre le pouvoir.

Il aimerait devenir quelqu’un dans cette société et il ne sait pas par qui passé nous pouvons voir tous cela à la page 78 « il s’inquiétait surtout de la médiocrité morale de sa situation et ne voyait pas par quelle voit il escaladait les hauteurs ou l’on trouve la considération, la puissance et l’argent ». La vie française c’est l’enclanchement de tous les événements qui vont suivre.

A la page 122 « la vie française était avant tout un journal d’argent le parton était un homme d’argent à qui la presse et la députation avaient servi de levier » Duroy ayant déjà de l’argent se sentait maintenant a l’aise et en confiance.

Il était prêt a tout afin d’épouser madame forestier.

A la page 187 « Mais il avait confiance en sa fortune , confiance en cette force de séduction qu’i sentait en lui, force vague et irrésistible que subissait toutes les femmes ». »