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Antarctique.

Publié le 06/12/2021

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Antarctique.
1

PRÉSENTATION

Antarctique, continent situé dans sa quasi-totalité au sud de la latitude 66° 30' sud (le cercle antarctique) et entourant le pôle Sud. L'Antarctique est de forme vaguement
circulaire avec un long bras -- la péninsule antarctique -- se prolongeant vers l'Amérique du Sud et deux grandes baies, la mer de Ross et la mer de Weddell et leur
banquise. Sa superficie totale couvre 4,2 millions de kilomètres carrés en été. Pendant l'hiver, l'Antarctique double sa superficie en raison de l'importante couche de glace
qui recouvre la mer à sa périphérie. Les véritables frontières de l'Antarctique ne sont pas ses côtes, mais la convergence antarctique qui est une zone rigoureusement
définie dans la partie australe de l'Atlantique, de l'océan Indien et de l'océan Pacifique entre la latitude 48° sud et la latitude 60° sud. Dans cette zone, les eaux plus froides
du nord de l'Antarctique rejoignent les eaux plus chaudes se dirigeant vers la région Australe. La convergence antarctique marque une différence physique définie dans les
océans. Pour ces raisons, les eaux entourant le continent antarctique sont elles-mêmes considérées comme un océan, souvent appelé océan Antarctique ou océan Austral.
L'Antarctique n'était pas peuplé avant l'arrivée des Européens. Ses résidents sont des scientifiques et du personnel de gestion qui ne restent généralement pas plus d'une
année par séjour.
Quatre-vingt-quinze pour cent de l'Antarctique sont recouverts de glace et le continent détient environ 90 p. 100 des réserves d'eau douce du monde. En raison de son
épaisse couche de glace, c'est le continent le plus élevé, avec une altitude moyenne d'environ 2 300 m. Le point culminant est le mont Vinson (5 140 m) ; le point le plus
bas se situe dans la fosse subglaciale de Bentley (2 499 m au-dessous du niveau de la mer), dans l'Antarctique oriental. Cette fosse est recouverte d'une couche de glace et
de neige de plus de 3 000 m d'épaisseur. Il existe peut-être des points plus bas sous la glace, mais aucun n'a encore été découvert.
Sept nations ont revendiqué la souveraineté sur certaines régions de l'Antarctique, mais, depuis le traité de l'Antarctique de 1961, ces revendications ont été écartées en
faveur de la coopération internationale dans le domaine de la recherche scientifique (ces revendications ont été émises par l'Argentine, l'Australie, le Chili, la France, le
Royaume-Uni, la Nouvelle-Zélande et la Norvège).

2

ENVIRONNEMENT NATUREL

Le développement économique de cette masse terrestre recouverte de glace est improbable. L'exploitation des ressources du plateau continental est possible, mais ne se
fera certainement pas dans les prochaines années. La vie marine des eaux entourant l'Antarctique, qui inclut les baleines et les krills, une sorte de petite crevette, est en
cours d'exploitation.

2.1

Évolution géologique

L'Antarctique fut la partie centrale d'un ancien vaste continent, le Gondwana. Lorsque le Gondwana se disloqua à la fin du mésozoïque et au début du cénozoïque (il y a
quelque soixante-cinq millions d'années) pour former les continents de l'hémisphère Sud, l'Antarctique dériva de la zone tropicale vers sa position actuelle au pôle.

2.2

Régions géologiques

L'Antarctique est constitué de deux principales régions géologiques. La plus grande, l'Antarctique oriental, est probablement un bouclier précambrien . L'Antarctique
occidental, apparaît comme une extension des Andes de l'Amérique du Sud. Les glaciologues et les géologues supposent que l'Antarctique occidental se révélerait être un
archipel d'îles si la glace fondait.
Les deux régions de l'Antarctique sont séparées par la chaîne Transantarctique, une zone montagneuse élevée qui s'étend sur tout le continent, bien que quelques parties
soient cachées sous la couche de glace. Ces montagnes renferment de nombreux gisements de charbon et de fossiles liés à l'ancien climat tropical de l'Antarctique.
Dans l'Antarctique oriental, le bouclier précambrien géologiquement stable est uniformément recouvert de dépôts sédimentaires et effusifs. La structure géologique de
l'Antarctique occidental est moins bien connue, mais il existe au moins deux volcans actifs dans cette région, dont le plus élevé est le mont Erebus (3 794 m). Les sols de
l'Antarctique sont classés comme des sols désertiques polaires secs et ils ne sont apparents que dans quelques vallées ou oasis déglacées et dans des parties de la péninsule
antarctique.

2.3

Drainage et réserves d'eau

La couche de glace de l'Antarctique est en perpétuel mouvement. De grands glaciers drainent l'intérieur du continent. Les vallées côtières drainent certaines parties de la
terre continentale vers la mer. D'immenses icebergs tabulaires se forment lorsque les bords des glaciers se détachent et dérivent dans la mer. La mer est par endroits
englacée en permanence et forme une banquise ; la plus grande de ces formations, la banquise de Ross, mesure environ la même taille que l'Espagne et le Portugal réunis.
La situation isolée de l'Antarctique du reste du monde lui a évité la pollution industrielle commune aux autres continents ; la neige et la glace y sont donc les plus pures du
monde. La plupart des stations scientifiques utilisent des systèmes transformant la glace en eau pour les besoins de la station.

2.4

Climat

L'Antarctique est le continent le plus froid. La température la plus basse jamais enregistrée sur terre atteignait - 88,3 °C, le 24 août 1960, à la station Vostok. Le continent
est également soumis à des vents violents. À l'intérieur des terres, des vents ont été chronométrés à 320 km/h. Ces vents dévalent les versants intérieurs en direction des
côtes et, combinés aux basses températures, peuvent être fatals pour l'homme.
Trois régions climatiques de base peuvent être distinguées. L'intérieur des terres est caractérisé par un froid extrême et de faibles chutes de neige ; les régions côtières
connaissent des températures un peu plus douces et des précipitations beaucoup plus importantes ; et la presqu'île antarctique a un climat plus chaud et plus humide avec
des températures souvent au-dessus de 0 °C.
L'Antarctique est un désert froid ; à l'intérieur des terres, la moyenne des précipitations annuelles est d'environ 50 mm. Toutefois, de violents blizzards se produisent
lorsque les vents soulèvent la neige fraîchement tombée. Les précipitations annuelles sont beaucoup plus importantes sur la côte, atteignant environ 380 mm. Dans ces
régions, d'importantes chutes de neige se produisent lorsque des cyclones aspirent l'humidité de la mer environnante ; cette humidité gèle et se dépose sous forme de
neige sur les régions côtières. Le long de la péninsule antarctique, en particulier à l'extrémité nord, les pluies sont aussi fréquentes que les chutes de neige.
À l'intérieur des terres, le jour est presque continu pendant l'été austral, alors qu'il fait nuit pendant l'hiver austral. Dans les régions côtières, plus au nord, il existe de
longues périodes ensoleillées pendant l'été, mais le lever et le coucher du soleil ont lieu pendant une grande partie du reste de l'année.

2.5

Végétation

Les quelques plantes qui survivent dans l'Antarctique se concentrent dans les régions non recouvertes de glace. Il n'y a pas d'arbres sur ce continent et la végétation est

limitée à environ trois cent cinquante espèces, pour la plupart des lichens, des mousses et des algues. Il existe des étendues luxuriantes de ces végétaux dans la péninsule
antarctique et on a découvert des lichens poussant sur des montagnes isolées à 380 km du pôle Sud. Il existe également trois espèces de plantes à fleurs dans la péninsule
antarctique.

2.6

Faune

Il n'existe aucun vertébré terrestre en Antarctique. Les invertébrés, en particulier les mites et les tiques, qui supportent les basses températures, survivent dans la péninsule
antarctique, mais ils sont rares. Toutefois, l'océan environnant est riche en animaux marins. Un nombre considérable de baleines se nourrissent de la faune marine, en
particulier les krills. Six espèces de phoques (dont le phoque crabier, l'éléphant de mer et le léopard de mer) et environ douze espèces d'oiseaux vivent et se reproduisent
dans l'Antarctique. Le plus remarquable habitant de l'Antarctique est le manchot empereur. Cet oiseau, qui ne vole pas, vit sur la banquise et dans les océans environnant
l'Antarctique et se reproduit sur la terre ou sur la glace le long des côtes.

2.7

Ressources minérales

Les ressources minérales de l'Antarctique restent peu connues. Des gisements de charbon commercialement rentables ont été découverts, mais on ne connaît pas d'autres
minéraux en quantités potentiellement exploitables. La plaque continentale de l'Antarctique renfermerait de vastes réserves de pétrole et de gaz naturel.

3

EXPLORATION

L'Antarctique ne fut découvert qu'au début des années 1880 en raison de la distance qui le sépare des autres continents. Les Grecs de l'Antiquité furent les premiers à
émettre une théorie sur l'existence de l'Antarctique lorsqu'ils supposaient qu'il devait exister de grands continents dans l'hémisphère Sud pour équilibrer ceux de
l'hémisphère Nord. James Cook fut le premier explorateur à passer le cercle antarctique dans les années 1770, mais, bien qu'il contourna le continent, il n'arriva jamais en
vue de ces terres. Les rochers pris dans les icebergs en mer prouvaient à James Cook l'existence d'un continent dans le Sud, mais ce n'était pas l'endroit populeux et
luxuriant auquel on s'attendait.

3.1

Premières explorations

De 1819 à 1821, une expédition russe dirigée par l'officier de la marine et explorateur Fabian von Bellingshausen contourna l'Antarctique et découvrit quelques-unes des îles
au large. Les premières équipes à arriver en vue du continent furent probablement celle du chasseur de phoques américain Nathaniel Palmer et celle des britanniques
William Smith et Edward Branfield, dont les navires passèrent à proximité de la péninsule antarctique en 1820. La première exploration terrestre connue fut effectuée le
7 février 1821 par un autre chasseur de phoques américain, John Davis. En 1823, le chasseur de baleines britannique James Weddell découvrit la baie qui porte son nom et
avança jusqu'au point le plus austral jamais atteint par un navire à cette époque.
Toutefois, ce ne fut que dans les années 1840 que l'on comprit que l'Antarctique était un continent. Trois expéditions de nationalité différente -- une expédition française
dirigée par Jules Dumont d'Urville, une expédition britannique dirigée par James Ross et une expédition américaine dirigée par le capitaine Charles Wilkes -- longèrent la
côte sur une distance assez importante pour réaliser que cette terre recouverte de glace qu'ils voyaient était réellement une masse de terre continentale.
Après une interruption d'une cinquantaine d'années, l'exploration du continent commença vraiment à la fin du XIXe siècle. Encouragées par le Congrès géographique
international, des expéditions furent organisées par plusieurs pays différents, dont la Belgique, qui envoya Adrien de Gerlache, le Royaume-Uni, qui envoya Robert Scott et
Carsten Borchgrevink, et l'Allemagne, qui envoya Erich von Drygalski. Gerlache dirigea son expédition, la première véritable expédition scientifique dans l'Antarctique, vers
la côte pacifique de la péninsule antarctique et fut pris dans la glace où il passa l'hiver de 1897-1898. L'expédition Borchgrevink accosta à cap Adare en 1899 et fut la
première équipe à passer l'hiver à terre. L'expédition Scott de 1901-1904 utilisa l'île de Ross dans le détroit de McMurdo comme base et explora la banquise de Ross et terre
Victoria. De 1901 à 1903, le géophysicien Drygalski dirigea une expédition vers la côte antarctique bordée par l'océan Indien. Scott et Drygalski s'étaient tous deux équipés
de ballons captifs et les utilisèrent pour des observations aériennes de la surface de l'Antarctique. Des expéditions financées par des fonds privés se trouvaient également en
Antarctique à cette époque, venant de Suède sous la direction de Otto Nordenskjöld, d'Écosse sous la direction de William Bruce et de France sous la direction de Jean
Charcot.

3.2

Expéditions vers le pôle Sud

La découverte du pôle Sud fut l'objet de plusieurs expéditions. De 1907 à 1909, Ernest Shackleton dirigea une expédition britannique jusqu'à 150 km du pôle avant de faire
demi-tour en raison du manque de provisions.
Une deuxième expédition britannique partit à l'assaut en 1910 sous le commandement de Robert Scott, ainsi qu'une expédition norvégienne dirigée par Roald Amundsen.
Utilisant des chiens pour tirer leurs traîneaux, Amundsen et quatre co-équipiers atteignirent le pôle Sud le 14 décembre 1911. L'équipe de Scott (cinq personnes), atteignit
le pôle le 18 janvier 1912, après avoir tiré ses traîneaux à la main sur la partie la plus dure de sa route. Tous les membres de l'équipe Scott périrent sur le voyage du retour
alors que les Norvégiens réussirent à réintégrer leur base. Shackleton retourna en Antarctique en 1914 pour tenter de traverser le continent, mais son navire, l' Endurance,
fut pris dans la glace et éventré. Shackleton et ses hommes se frayèrent un chemin sur les bancs de glace flottante jusqu'à l'île des Éléphants et furent finalement secourus
en août 1916.

3.3

Exploration aérienne

Les avions atteignirent l'Antarctique dans les années 1920. L'Australien George Wilkins et l'Américain C.B. Eielson furent les premiers à survoler le continent lors de leur
exploration aérienne de la péninsule antarctique en 1928. L'explorateur américain Richard E. Byrd établit un grand camp -- Little America -- sur le plateau glacé de Ross au
début de 1929 et, en novembre, il vola jusqu'au pôle Sud. Il retourna en Antarctique en 1934 avec une autre expédition. Les deux expéditions étaient constituées d'une
équipe de recherche scientifique.
Les autres expéditions aériennes furent celle de l'Américain Lincoln Ellsworth, qui survola le continent en 1935 ; l'expédition norvégienne qui effectua une étude approfondie
le long des côtes ; celle de l'Allemagne, qui envoya une expédition aérienne en 1938 et en 1939 ; et l'exploration de l'expédition du service antarctique des États-Unis de
1939 à 1941.
Après la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis envoyèrent la plus grande expédition jamais réunie en Antarctique. Plus de 4 000 personnes participèrent à l'opération
Highjump qui comptait quelques treize navires et plus de vingt avions. Une grande partie de la côte fut photographiée par avion pour l'établissement de cartes.

3.4

Activités récentes

L'exploration systématique à long terme et l'étude scientifique de l'Antarctique commença avec l'Année géophysique internationale (AGI), du 1 er juillet 1957 au
31 décembre 1958. Douze nations établirent plus de soixante stations scientifiques en Antarctique au cours de l'AGI et explorèrent la plupart des régions du continent. À la
fin de l'AGI, les douze pays décidèrent de poursuivre leurs recherches au cours d'une année de coopération géophysique internationale. Leurs représentants se réunirent à

Washington en 1959 pour ratifier et signer le traité de l'Antarctique qui réservait tout le continent à la recherche scientifique pacifique ; ce traité entra en vigueur en 1961,
suspendant toutes les revendications territoriales. En 1991, vingt-quatre nations approuvèrent un protocole du traité qui interdisait toute exploration pétrolifère ou minérale
pour au moins cinquante ans.

4

RECHERCHES SCIENTIFIQUES

D'importantes recherches scientifiques ont été effectuées en Antarctique, y compris des études de glaciologie, de météorologie, de géomagnétisme, de surveillance
météorologique internationale, de sismologie et de physique ionosphérique. L'océan riche en nutriments entourant l'Antarctique est un important sujet d'étude. Les
biologistes ont découvert que les poissons des eaux antarctiques avaient une composante antigel dans leur sang qui leur permettait de survivre dans des températures en
deçà de 0 °C. Les études conduites sur le développement de la vie des pingouins, des phoques et des krills (une éventuelle réserve mondiale de nourriture) ont fourni de
nombreuses informations sur l'écologie de ces espèces. Des études conduites conjointement par plusieurs pays ont multiplié les connaissances sur les krills et ont permis
aux scientifiques d'améliorer leur pronostics sur les limites de sécurité de l'élevage des krills.
Les géologues ont à présent exploré la plupart des régions rocheuses faciles d'accès du continent, développant leur connaissance de la structure géologique de base et de
l'évolution de l'Antarctique. Les glaciologues étudiant les vestiges des anciens glaciers ont découvert que l'Antarctique était autrefois composé d'une quantité de glace
beaucoup plus importante. Des fossiles ont été découverts sur le continent : en 1982, on découvrit pour la première fois les restes d'un mammifère et, en 1986, un
dinosaure fossile. De tels fossiles ont à présent fourni un rapport séquentiel presque complet de la dislocation de l'ancien vaste continent du Gondwana. Les vulcanologues
ont effectué des études approfondies du mont Siple et du mont Erebus, volcan en activité. Les géologues ont recueilli des milliers de météorites (dont quelques rares
fragments de la Lune) d'une valeur considérable en raison de leur conservation dans la neige, protégées des intempéries et de l'érosion.
La couche de glace a elle-même fait l'objet d'études sérieuses. Les glaciologues de différents pays ont employé des méthodes modernes d'étude, comme la radioglaciologie, pour obtenir des informations sur le terrain sous le manteau de glace et pour rechercher de grands lacs entre la terre et la base de la glace. Des satellites ont
été utilisés pour relever le lent mouvement de la surface de la glace. Des forages profonds, dont un a été effectué jusqu'à la base de la banquise de Ross et un dans la glace
de l'Antarctique occidental à la station Byrd, ont permis aux scientifiques français, russes et américains de retracer les modifications climatiques du continent sur une
période de plusieurs dizaines de milliers d'années. Les scientifiques français ont installé des émetteurs radio au sommet d'icebergs pour relever leur mouvement.
Les scientifiques ont également dirigé des études sur le réchauffement général du continent. En 1995, un nombre particulièrement important d'icebergs se forma, modifiant
radicalement la taille de la banquise.
Les météorologistes ont relevé sans interruption pendant vingt-cinq ans les bulletins météorologiques et assurent une bonne compréhension du rôle de l'Antarctique dans le
climat du globe. Un de ces apports a été la découverte par des scientifiques britanniques, en 1985, que le trou de la couche d'ozone se développe à chaque printemps
antarctique dans la stratosphère au-dessus du continent, puis qu'il disparaît plus ou moins à la fin de la saison. La signification de cette réduction de la couche d'ozone dans
la région du pôle Sud est toujours une source d'interrogation. Il peut en partie s'agir d'un phénomène naturel, mais il existe des preuves évidentes que la destruction de
l'ozone est également liée au problème des chlorofluorocarbones libérés dans l'atmosphère.
Des biologistes ont étudié le comportement des virus dans un environnement froid et isolé. Des études du sommeil et des études psychologiques sont fréquemment
conduites pendant l'hiver lorsque l'Antarctique est isolé du reste du monde.

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