Databac

Amboise.

Publié le 07/12/2021

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Amboise.. Ce document contient 299 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Encyclopédie
Amboise. ville du département d'Indre-et-Loire, sur la Loire. 11 415 habitants. Elle est
dominée par le château du même nom, édifié sur une terrasse soutenue par des murs épais.
Charles VIII, qui y naquit et y mourut d'un accident, fit construire le Logis du roi ; au temps de
Louis XII, on ajouta un bâtiment en retour d'équerre. Ces deux constructions donnent une
idée de l'évolution de l'architecture de la fin de la période gothique au début de la Renaissance.
Dans la chapelle Saint-Hubert, bijou d'architecture gothique de style flamboyant, reposeraient
les restes de Léonard de Vinci, peintre que François Ier avait appelé auprès de lui en 1516 et
qui mourut en 1519 non loin de là, au château de Cloux (aujourd'hui, le manoir du ClosLucé). Le château d'Amboise fut la résidence assignée à Abd el-Kader jusqu'au jour où celui-ci
fut autorisé par Napoléon III à se fixer à Damas.
Petit centre industriel, Amboise dispose de plusieurs musées, dont un musée de plein air
présentant tous les châteaux de la Loire.

La conjuration (ou le tumulte) d'Amboise.
Il s'agit d'un complot ourdi par le prince de Condé et exécuté par La Renaudie, pour
s'emparer de la personne du roi François II, qui séjournait au château d'Amboise, afin de le
soustraire à l'influence des Guises. Trahis, les conjurés furent pris et décapités ou pendus le
18 mars 1560. Le prince de Condé, qui avait fait volte-face, échappa au châtiment.

La paix d'Amboise.
C'est l'édit par lequel Catherine de Médicis, régente du royaume pendant la minorité de son
fils Charles IX, accordait aux protestants la liberté de conscience et le droit de célébrer leur
culte dans les faubourgs d'une ville, dans chaque bailliage ou sénéchaussée. Cet édit,
promulgué dans un but d'apaisement, mettait fin à la première des guerres de Religion
(1563).

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles