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ALSACE - LORRAINENeuf-Brisach.

Publié le 17/05/2020

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« 1 / 2 ALSACE -LORRAINE Neuf-Brisach 68- Haut-Rhin Louis XIV ordon na la constr uction de Neuf­ l:lrisach pour faire échec à Vieux-Bri sach.

place forte sur la rive droite du Rhin , cédée à l'Empir e en vertu du traité de Ryswick, en 1697.

Pour peupler la ville , il accorda des privilèges -exemption d'impôts , terrain gra­ tuit pour la constm ctio n d'habitations -qui durèrent jusqu'en 1758.

Un octogone cher à Vauban Visitant les places fort es du coin.

par ordre du roi, Vauba n envoya le 15 juin 1698 trois projets.

compre nant tous un octog one , pour réaliser une place assez vaste.

Louis XIV retin t celui avec des tour s bastionnée s , deux case mates e r des demi-lune s avec rédu its et fossés.

Les travau x durèrent de 1699 à 1708 : Neuf-Bri sach est l'un e des plus bell es forte­ resses conçues par le futur maréchal expe rt e n fortifi catio ns, l'une des plus achevée s elu système défe nsif de l'époq ue.

Un puits à chaque coin Formant un octogo ne régulier , la double enceinte est percée de quatre portes qui s'ouvrenr aux points card inaux : celles de Colmar, de Bâle, de Strasbo urg et de Be lfort, dans laquelle est install é un musée Vauban , qui prése nte un spectacle son et lumi è re ori­ ginal à partir d'une maquette de la ville .

Les bastions, case mates, rempa rts et fossés sont encore pratiquement inta cts.

L'intérieur de Neuf-Bri sac h se compose de qua rant e-huit blocs de mais ons, séparées par des rues larges et rectilignes, se croisant à ang le droi t.

Au centre d e la v ille s'étend la vaste place d'armes carrée , avec un puits à chaque coin, à laquell e aboutissent la p lu­ part des rues.

Autour de cette plac e, s'élè­ vent l'églis e roya le Saint-L ouis du XVIII' siècle et les divers édifices publics.

L'église royale Saint-Louis Consac rée par l'évêq u e coa djuteur de Bâle en 1777, l'église royale Saint-L ouis fut détruit e en 1945 mais, grâce à une restauration exe mplair e.

elle put être rendue au culte e n 1 975.

L'effort déco­ ratif s'é ta it porté à l'époque sur l'ample faça de qui allie la séduction du classi­ cisme fran çais, voir e par isien, aux rigueurs martiales.

L'ceil est d' emblée accroc hé par le g rand portail e n plein cintre, et le fronton du ·'be l étage " est mouluré aux armes de france.

Le remarquable maître-autel baroque à pilastres et colonne s provient de l'égli­ se de Gamb sheim, constru ite en 1763 Magnifiqu es aussi sont le retabl e consacr é à la Nativité ; le grand cal­ vaire elu XVIII< siècl e , avec ses rémi­ niscences médiévales ; les vitrau x de Pierre Bony, et les cinq cloc hes fon­ dues à H eidelberg en 1975 2 / 2. »

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