Devoir de Philosophie

Vivre dans l'espace

Publié le 17/01/2022

Extrait du document

 

La conquête de l'espace a ses héros : Youri Gagarine, premier homme à avoir décrit

une orbite autour de la Terre en 1961, Neil Armstrong, premier à avoir marché sur la Lune

en 1969... Malgré ses périls, la vie dans l'espace soulève l'enthousiasme et la recherche

se poursuit pour la rendre plus supportable. Bientôt, voyager dans l'espace ne sera plus

réservé aux seuls astronautes et chacun pourra admirer un clair de Terre depuis

un vaisseau spatial...


« TECHNIQUES ET MACHINES VIVRE DANS L'ESPACE À bord du vaisseau spatial Le vaisseau, très bien isolé des températures extrêmes de l'extérieur, est pressurisé dans ses parties habitables.

Lair est filtré en permanence pour éliminer le gaz carbonique dégagé par la respiration, puis il est recyclé.

Des panneaux solaires fournissent l'électricité nécessaire, tandis que carburant, eau et nourriture sont emportés depuis la Terre.

Les spationautes restent en liaison avec le sol par radio et télévision .

Le «mal de l'espace» Loin de la Terre , 1' organisme subit de nombreux troubles, surtout au début du séjour dans l'espace .« Haut» et« bas» ne veulent plus rien dire, la vue n'a plus la notion des verticales et des horizontales ; en impesanteur, l'oreille interne ne parvient plus à assurer l'équilibre du corps, ni les muscles à régler l'attitude du corps : les hommes se sentent tomber dans le vide.

Désorientés , ils ont des vertiges et des nausées: c'est ce qu'on appelle le «mal de l'espace», comparable au mal de mer.

Pour aider les spationautes à retrouver leur sens de l'orientation, on peint le plafond des vaisseaux de couleurs claires et le sol de teintes sombres.

« Tête bouffie, jambes de poulet» Sur Terre, le sang, comme le reste, est attiré vers le bas .

Le cceur, sorte de pompe , contrôle la circulation et stabilise la pression dans les vaisseaux sanguins.

En apesanteur, 448 • Les spationautes s'entraînent en piscine .

Dans l'eau , certaines conditions rappellent celles de t'espace.

le sang tend à aller plutôt vers le torse et la tête .

D'où une sensation de «tête bouffie»: les traits se distendent, les yeux se boursouflent.

À l' inverse, les membres inférieurs, moins irrigués, s'amincissent, donnant aux spationautes l'impression d'avoir de maigrichonnes «jambes de poulet» ! ..

L'impesanteur fait grandir.

Les astronautes de Skylab ont gagné jusqu'à 4 cm au cours de leur voyage! L'absence de pesanteur étire les cartilages qui séparent les vertèbres.

Le retour sur Terre, bien sûr, remet les choses en place, et chacun retrouve sa taille initiale.

Cette combinaison facilite fa circulation du sang vers les jambes a~n que le sang ne s'accumule pas dans fa tête.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles