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Suis je ce que le passé fait de moi ?

Publié le 13/02/2012

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« De la même réserve (la mémoire) je tire d'autres et encore d'autres répliques... je les relie à la trame du passé, et même, de là, je tisse celle de l'avenir... « St Augustin ,

de cette citation du IV siècle , on remarque déjà que le passé est aperçu déjà a cette époque comme un caractère fondateur du passé . En effet les préjugés tendent vers la pensée dans laquelle le passé est ce qui caractérise l'homme , le construit , ses actes passés le déterminent alors , sous le prétexte que tout acte , toute parole , tout fait a une influence sur la personne que je suis et la personne que je deviendrai. Malgré tout cette réflexion pose un paradoxe , l'homme , s'il est formatisé par son passé , s'il est construit par son passé ne serait-il pas un homme dépendant de son passé , un homme privé de la liberté de choisir ce qu'il veut être . Par conséquent on peut légitimement se demander : L'homme est il libre de se construire et d'être comme il le souhaite ou est il alors dépendant du passé ? Pour traité cette question , notre analyse se portera

« fait de fumer , de boire .

Ainsi nous avons beaucoup de mal pour se libérer de ceci , si nous répétons souvent lesmême choses machinalement nous nous retrouvons alors enfermés et donc privés de libertés , obligés de sesoumettre a ses habitudes .

On retrouve alors le caractère irréversible du passé , et par conséquent ce premierdéveloppement amène a penser que le passé nous prive de liberté et étaye la thèse selon laquelle l'homme seraitdépendant de son passé. Malgré tout , le passé ne semble pas se résumé seulement a une contrainte , qui fait que nous ne pouvons pass'extirpé a lui , le passé semble néanmoins ne pas déterminé l'entièreté de notre être , et surtout certaines de sesfacettes apparaissent dangereuse pour l'homme En effet , si l'homme se retrouve déterminé par son passé , la question de la liberté de l'être se pose alors .Sommes nous donc réellement libre de décidé de ce que nous voulons être ? Si les habitudes sont considéréscomme une prison , notamment pour les habitudes qui sont dangereuses en puissance , comme l'addiction ,lepassé se révélerai alors avoir un coté négatif , qui se retrouve être néfaste pour l'homme , l'empêchant de pouvoirse libère de ses mauvaises caractéristiques , celles qui ce retrouvent être néfastes pour l'individu.

L'homme seraitprit comme dans une tourmente de laquelle il ne pourrait pas se libérer et qui le conduirait par conséquent a lamort. De plus , l'homme ne cherche pas toujours a être lié a son passé , de fait , l'homme passe son temps a vouloir sedéfaire des actes , des désirs , ou des faits passés .

Et par ce que Freud nommera le refoulement , l'individu atendance pour protéger son intégrité psychique .

En effet l'individu aura tendance a effacer de sa mémoire , ouplutôt a placer dans son inconscient par ce phénomène de refoulement les évènements qu'il perçoitnégativement.

Le refoulement ce trouverai alors comme une forme de libération face au passé grâce notamment al'oubli des scènes traumatisantes de l'espace conscient .

Ainsi d'une certaine façon l'homme parvient , malgré lui ,a mettre de cotés tout éléments pouvant lui nuire provenant du passé et qui lui permet d'avoir du recul parrapport au passé et grâce a sa d'avoir une emprise sur la sa façon d'être et de se construire , sans êtredépendant de tout son passé. En outre , le passé peut également se révéler dangereux pour l'individu , notamment si comme l'explique Freud etBreuer dans leur « études sur l'hystérie » , l'être développe , du fait de son refoulement une névrose hystérique . Effectivement , le patient ayant fait passé des éléments qui le perturbes , traumatisants dans leur inconscientpeuvent développé une maladie , la névrose hystérique .Le passé se retrouve alors au cœur de la maladie , lerefoulement apparaît désormais comme un enfermement plutôt qu'une libération puisqu'à cause du passé , d'untraumatisme on se retrouve atteints par ce mal .

On peut d'ailleurs l'observer dans l'étude de Freud et Breur ducas Elisabeth , cette jeune femme , ayant refoulé son passé , son désir pour son beau frère , se retrouve atteintephysiquement par la maladie .

Elle se retrouve donc prisonnière de son passé , son passé qui comporte son désirpour le mari de sa sœur .

Le fait de ne pas pouvoir ce libérer et être indépendant de son passé deviendrai alorsdangereux au point d'en devenir malade . L'antécédent se retrouve alors dans une position délicate , bien qu'il semble construire nos fondamentaux , ilapparaît également dangereux et ne construit pas notre être dans son entier.

Par ailleurs l'homme apparaît aussien mesure d'avoir une emprise sur son passé et de pouvoir s'en libérer en partie. Aussi le passé semble ne pas être le seul décideur de notre être.

En effet , notre passé s'échappant sans cesse ,il se retrouve donc être en perpétuel changement , en perpétuel transformation.

De ce fait , c'est le futur et leprésent qui détermine et détermineront la portée de mon passé.

En effet le bilan de nos actions , de nos faits ne. »

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