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Processus 10 BTS

Publié le 06/02/2013

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Chapitre 4 : L'organisation des données dans un système d'information Le système d'information permet de collecter, stocker, traiter et diffuser des informations à l'aide de moyens ou composantes technologiques, humaines et organisationnelles. Dans ce chapitre, il s'agira d'étudier le stockage des données à travers la construction de base de donnée, qui seront gérées par un SGBDR, système de gestion de base donnée relationnelle, (exemple : ACCESS, MySQL, Oracle...). Le dictionnaire des données Pour organiser les données il faut d'abord faire une liste exhaustive. Exemple : on souhaite organiser les données concernant la facturation client. Les données calculées et paramètres ne peuvent pas être enregistrés dans les bases de données, cela permet en effet d'éviter de les surcharger (les disques durs coutent chères). Les liens entre les données : les dépendances fonctionnelles NumFact Numcli NomCli RueCli CPcli VilleCli On appelle dépendance fonctionnelle simple (DFS), le fait qu'une valeur d'une donnée A permet de retrouver la valeur d'une donnée B. On appelle dépendance fonctionnelle multiple (DFM), le fait que pour une valeur d'une donnée A et une valeur d'une donné B, on peut trouver une valeur d'une donnée C. NB : les DFS concerne en général des données homogènes, exemple on a une DFS entre les différentes données d'un client. Cela concerne en général, un fichier homogène. Il existe également, des DFS entre ensemble homogènes. Le schéma entités / associations Après avoir listé les données dans un système d'information, on a étudié les liens entre ses données et cela nous a permis de mettre en évidence des blocs homogènes, grâce aux dépendances fonctionnelles simples (DFS). Il apparaît également qu'il existe entre ses blocs des liens avec : Dépendance fonctionnelle simple (client / facture) ou CIF Dépendance fonctionnelle multiple (produit et facture quantité) ou CIM Les entités Les blocs homogènes sont appelés les entités. Dans le schéma entité association, elles sont représentées de la manière suivante : Identifiant Numcli NumCli RueCli VilleCLi Attributs Dans le schéma entités / associations, on cherche a représenté à présenter de manière théorique la futur base de donnée qui sera installé sur SGBDR. C'est pourquoi ses associations peuvent se traduire par un verbe, le lien qui caractérise la relation entre deux, trois ou quatre entités. Les associations Facture Clients 1, 1 O, N Payer 1, N Figurer Quantité 0, N Produits Remarque : deux verbes : Correspondre ou concerner ne jamais utiliser « avoir « « être « A part le verbe qui traduit la relation entre deux entités, on doit aussi faire des cardinalités. Une cardinalité est pour un élément donné pour une entité A, le nombre minimum et maximum d'éléments qui peuvent correspondre dans l'entité B. Remarque : le nombre minimum ne peut être que 0 ou 1. Le nombre maximum ne peut être 1 ou N (=plusieurs). Soit un produit, il peut figurer sur aucune ou plusieurs factures. Ex : Pour un client, il peut payer aucune ou plusieurs factures (0, N). Soit une facture, elle sera payée par un et un seul client(1,1). Soit une facture, elle peut contenir un ou plusieurs produits (1, N). Il existe deux types d'associations : association hiérarchique : elle provient d'une dépendance fonctionnelle simple, on parle de contrainte d'intégrité fonctionnelle (CIF). En effet, on a alors la présente d'une cardinalité avec un maximum à 1. L'entité qui supporte la cardinalité avec un maximum à 1 est appelé entité fils. Association non-hiérarchique : elle provient d'une dépendance fonctionnelle multiple, elle est appelée aussi contrainte d'intégrité multiple (CIM). Les maximums de ses cardinalités sont tous à N. NB : Les associations non hiérarchique offre la possibilité d'accueillir un attribut qui ne peut pas être « rangé « car il dépend de deux entités. On l'appelle attribut d'association. Le modèle relationnel Une fois que l'on a constituer le schéma entité association (ou schéma conceptuel des données), il faut le traduire en schéma relationnel pour pouvoir l'implanter sur un SGBDR.  Les règles : Une entité donne naissance à une table. Ce qu'on a pellé l'identifiant va s'appeler clé primaire. Ce qu'on appelé attributs va s'appeler champs. L'association hiérarchique : elle donne naissance à une clé étrangère qui sera ajoutée dans la table l'entité fils et qui est l'identifiant de l'entité père. Association non hiérarchique : chaque association non hiérarchique donne naissance à une nouvelle table qui portera comme nom, le nom de l'association qui aura pour clé primaire la concaténation (= réunion) des identifiants des entités associées. Si elle contient des attributs d'association, ils seront ajoutés comme champs normaux. Remarque : une clé concaténée a aussi le statut d'une clé étrangère. Application : annexe A TYPE (Code Type, Désignation Type, Montant Caution, prix Journée Location, Catégorie Matériel) MATÉRIEL (Numéro Série, Date Apport, Valeur Origine, Code type#) MOUVEMENT (Numéro Mouvement, libellé Mouvement, Observation, Numéro de série#, Numéro Contrat#) CALENDRIER (Jour, Férié O/N) CONTRAT (Numéro Contrat, Date Facturation, Modalité Caution, Code client#) CLIENT (Code Client, Nom Client, Adresse Rue Client, Ville Client, Type Client) FOURNITURE (Référence fourniture, Désignation fourniture, Prix fourniture) DURER (Numéro Mouvement#, Jour#) PROPOSER (Code Type#, Référence fourniture#) APPARAÎTRE (Référence fourniture#, Numéro Contrat#, Quantité emportée, quantité retournée) N.B. : il existe des associations hiérarchiques particulières pour lesquels les deux maximums sont à 1, on ne parle plus de père-fils mais de frère-frère, il s'échange alors leurs clés. Remarque 1 : Une association non hiérarchique peut concerné plus de deux entités. Remarque 2 : Si une table comporte deux clés étrangères ayant le même nom, il faut changer son orthographe. Remarque 3 : On peut regrouper les deux premières étapes en une seule Mise en place et utilisation de la base de données Après avoir conçu de manière théorique, conceptuelle la base de donnée grâce au modèle entité association (modèle conceptuel des données), on l'a traduit en modèle relationnel afin de pouvoir l'implanter sur une SBGDR. C'est donc la mise en place de la base de donnée. On va pouvoir maintenant utiliser cette base de donnée à l'aide d'un langage universel : SDL (Structured Query Langage). Ce langage permet : D'interroger les données (SELECT) De manipuler les données Manipuler les tables Installer des droits d'accès sur les tables Les requêtes simples d'interrogation SELECT Listes des champs à afficher (à projeter) FROM Listes des tables à utiliser AND AND AND ... WHERE JOINTURE : le champs en commun entre deux tables (clé primaire / étrangère). Écriture : TABLE 1. Nom champ = TABLE 2. Nom Champ RESTRICTION : réduire la demande de données (valeur) =, >, <, <> 1 valeur between...and..., in (-, -, ...) plusieurs valeurs, is null vide ORDER BY Nom du champ ASC / DESC ;

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