Maladies vénériennes

« maladie peut s'étendre aux testicules et pro­ voquer un gonflement important, ainsi qu'à la prostate et aux vésicules séminales.

Les or­ ganes reproducteurs peuvent être abîmés dé­ finitivement.

Une maladie aux symptômes fort semblables est l'urétrite non spécifique.

On ne sait pas exactement si elle est provoquée par une bac­ térie ou autre chose: certains spécialistes des maladies vénériennes croient qu'elle peut parfois simplement être une réaction du pé­ nis à l'environnement biochimique du vagin et pensent que l'organe de l'homme et de la femme peuvent être incompatibles dans cer­ tains cas.

Par opposition à l'urétrite spécifique, l'uré­ trite non spécifique peut être causée par des germes banals, des germes plus rares, des vi­ rus, des champignons ou par irritation chimi­ que (acidité vaginale) ou mécanique.

Les personnes atteintes de blennorragie et d'urétrite non spécifique se font normale­ ment soigner aux premiers stades de la mala­ die, car la douleur est considérable.

Ce n'est pas le cas de la maladie vénérienne la plus sé­ rieuse, la syphilis ou 'vérole'.

La syphilis est due à un micro-organisme appelé spirochète en vertu de sa forme spirale ou en tire-bou­ chon .

Aux premiers stades, la syphilis est traitée de façon simple; mais si elle n'est pas rapidement détectée, elle s'atta que au corps entier, entraînant finalement la folie, la para ­ lysie ou la mort.

Au premier stade de la syphilis, le premier SPAIGNOL AFFLIGE' DY MAL DE NAPLES.

Ci-dessus: Le contact génital n'est pas la seule cause d'infection sy­ philique.

Si la première trace de syp hilis se trouve dans la bouche, la maladie peut se transmettre par con tacts bucaux .

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