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Maladie de Parkinson

Publié le 18/02/2012

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La paralysie agitante est dénommée maladie de Parkinson, du nom du médecin anglais James Parkinson qui en donna, en 1817, la première description clinique. A la fin du XIXe siècle, la maladie commence à être mieux connue du point de vue anatomique et histologique. Mais ce n'est qu'à partir de 1960 environ que sont apparues les prémisses de son véritable traitement....

« dant, tous les symptomes ne sont pas lies au deficit en dopamine.

L'influence sur le tremblement et l'hypertonie ne semble pas directe. 5 Les anciennes therapeutiques a base de medicaments dits antiparkinsoniens se montraient peu efficaces et sans effets durables.

Les modes de traitement de Ia maladie de Parkinson ont ete considerablement ameliores par l'emploi de Ia dopamine.

Mais itn'est pas possible de ('employer directement, car cette substance ne franchit pas la barrIere hemomenIngee.

On a donc ete conduit a utiliser son precurseur metabolique, Ia L-Dopa (L-dihy- droxyphenylalanine).

Celle-ci se transformera en dopamine, mais dans tout I'organisme et pas seulement au niveau du cerveau.

it convient donc d'administrer de fortes quan- tites de L-Dopa ou de lui associer un produit permettant son transfert sans perte peripherique.

L'amantadine (sel d'amine primaire) est aussi utilisee, mais elle agit surtout sur 6 Autre methode therapeutique, Ia chirurgle stereotaxlque cherche a agir sur Ia rigidite et le tremblement, avec de meilleurs resultats sur ce dernier element.

Ces diverses therapeutiques sont appelees A supplanter les anciennes methodes (imipramine, vitamine B6), malgre les nombreux effets secondaires de Ia chlmlotheraple : troubles diges- tifs et cardiovasculaires, mouvements anormaux pour la L-Dopa ; insomnies, etat confuso-onirique pour l'aman- tadine. dant, tous les symptômes ne sont pas liés au déficit en dopamine.

L'influence sur le tremblement et l'hypertonie ne semble pas directe.

5 Les anciennes thérapeutiques à base de médicaments dits antiparkinsoniens se montraient peu efficaces et sans effets durables.

Les modes de traitement de la maladie de Parkinson ont été considérablement améliorés par l'emploi de la dopamine.

Mais il n'est pas possible de l'employer directement, car cette substance ne franchit pas la barrière hémoméningée.

On a donc été conduit à utiliser son précurseur métabolique, la L-Dopa (L-dihy- droxyphénylalanine). Celle-ci se transformera en dopamine, mais dans tout l'organisme et pas seulement au niveau du cerveau.

Il convient donc d'administrer de fortes quan­ tités de L-Dopa ou de lui associer un produit permettant son transfert sans perte périphérique.

L'amantadine (sel d'amine primaire) est aussi utilisée, mais elle agit surtout sur l'akinésie.

6 Autre méthode thérapeutique, la chirurgie stéréotaxique cherche à agir sur la rigidité et le tremblement, avec de meilleurs résultats sur ce dernier élément.

Ces diverses thérapeutiques sont appelées à supplanter les anciennes méthodes (imipramine, vitamine B6), malgré les nombreux effets secondaires de la chimiothérapie : troubles diges­ tifs et cardiovasculaires, mouvements anormaux pour la L-Dopa ; insomnies, état confuse-onirique pour l'aman­ tadine.. »

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