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L'Honneur perdu de Katharina Blum ou Comment peut naître la violence et où elle peut conduire d'Heinrich Boll

Publié le 29/09/2013

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Le lendemain, huit agents de police s'introduisent chez la jeune femme, mais elle est seule. Alors les vexations commencent : elle ignore tout mais subit une campagne de presse infamante. D'après son premier interrogatoire, inscrit au procès-verbal, Katharina est née le 2 mars 1947 d'un père mineur mort à trente-sept ans des suites d'une blessure de guerre. Elle travaille très tôt, suit les cours d'une école ménagère ( 1962-65). Mariée sur un coup de tête à un ouvrier, elle divorce, à ses torts, six mois plus tard. Elle trouve un emploi chez les Bloma, qui se portent garants lors de l'achat de son appartement. Katharina ne cesse de travailler et économise sur tout.

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« I 1 I_ Principales œuvres 1 l Étrange destin que celui de l'œuvre de Ludwig Wittgenstein, qui ne publia dans sa vie qu'un seul ouvrage, le Tractatus logico-phi/osophicus.

Ses autres travaux de recherches phi­ losophiques ne devaient paraître qu'après sa mort.

Tractatus logico­ philosophicus (1921) L'ouvrage se présente sous la forme d'une suite d'apho­ rismes au contenu souvent déroutant, et montre que , pour moi , le réel et le pos­ sible ne font qu 'un.

La phi­ losophie développée dans le Tractatus s 'apparente à l'argumentation kantienne de la Critique de la raison pure.

De même que Kant prétendait tracer les limites de la connaissance positive, Wittgenstein s'efforce, en analysant les structures du langage existant, de défi­ nir les limites de possibili­ tés de tout discours car oies limites de mon langage signifient les limites de mon propre monde•.

Investigations philosophiques (1953) Wittgenstein y révise ses conceptions antérieures.

Il s'agit de considérer que certaines choses ne peu­ vent pas s'exprimer dans des propositions positives et de s'intéresser par consé ­ quent à d'autres catégories du discours, comme la reli­ gion, la morale, l'esthétique.

Remarques sur les fondements des mathéma­ tiques ( 1956) La réflexion de Wittgen­ stein s'apparente aux réflexions suscitées par •la crise des fondements• lorsque les géométries non­ euclidiennes ont révélé que l'évidence des axiomes était insuffisante pour qu 'on y puisse fonder les mathé­ matiques; mais elle est aussi à la fois plus naïve et plus radicale: Que fait-on lorsque l'on fait des mathématiques? demande Wittgenstein, et il fait ainsi porter sa réflexion sur le sens de l'ac­ tivité mathématique .

Remarques philo­ sophiques ( 1964) En fixant la signification des mots , la grammaire détermine quelle est l'es­ sence de chaque chose .

«Gérante de la grammaire •, ---- la philosophie peut •Saisir l'essence du monde •, non dans des propositions du langage , mais à travers les règles de la grammair e «qui excluent les combinaisons de signes dénués de sens•.

De la Certitude (1969) Dans son ultime ouvrage , resté inachevé, Wittgen­ stein s'intéresse à diverses sortes de propositions très semblables aux « proposi­ tions » mathématiques en ce qu 'elles sont soustraites au doute et occupent une position centrale dans notre système de croyances, sans avoir pourtant le sta t ut de règles.

Ce sont les •convic­ tions •, soustraites à la contestation , qui font sys­ tème et forment notre •image du monde» .. »

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