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Les vaccins & la vaccination (Travaux Personnels Encadrés – Médecine & Santé – TS)

Publié le 29/04/2016

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Recherche documentaire, Pistes de travail & Axes de recherches pour exposé scolaire (TPE – EPI)

Rougeurs

La zone de l'injection peut présenter une rougeur et une grosseur, légèrement douloureuses au toucher. Elles sont consécutives à la réaction de l'organisme et habituellement se résorbent assez rapidement Ces symptômes peuvent être soulagés avec du paracétamol. L'intervention d'un médecin est nécessaire si le diamètre de la rougeur dépasse 3 cm, si elle suppure ou si elle perdure.

 

Symptômes infectieux

Parfois, le vaccin entraîne l'apparition de symptômes proches de ceux de la maladie, mais d'intensité moindre. Cette manifestation est généralement bénigne et sans conséquences.

En France, comme dans la majorité des pays développés, de nombreux vaccins sont à la disposition des médecins et des hôpitaux. Certains sont obligatoires (tuberculose, diphtérie, tétanos et poliomyélite), d'autres sont simplement, mais fortement, recommandés (coqueluche, méningite, hépatite B, rougeole, oreillons et rubéole). Tous sont intégrés dans un calendrier de vaccination défini par les autorités compétentes. Les vaccins disponibles regroupent souvent des principes polyvalents dirigés contre plusieurs maladies.

« l!fJ'tt!3pfj En France, comme dans la majorité des pays développés , de nombreux vaccins sont à la disposition des médecins et des hôpitaux.

Certains sont obligatoires (tuberculose, diphtérie, tétanos et poliomyélite), d'autres sont simplement, mais fortement, recommandés (coque luche , méningite , hépatite B, rougeole , oreillons et rubéole).

Tous sont intégrés dans un calendrier de vaccination défini par les autorités compétentes.

Les vaccins disponibles regroupent souvent des principes polyvalents dirigés contre plusieurs maladies .

L E TtTANOS Cette maladie est provoquée par une bactérie (Cfostridium tetam) , présente dans le sol, qui provoque une paralysie progressive des muscles.

L'atteinte des muscles respiratoires peut entraîner le décès (25 à 30 % des cas) .

La contamination se fait par une blessure.

Grâce au vaccin, cette maladie est devenue rare: en France , on recense moins d'une trentaine de cas par an, essentiellement chez des personnes âgées.

Le vaccin, obligatoire avant 18 mois, est réputé efficace et sans effets secondaires importants.

Il doit être renouvelé tous les 5 à 10 ans, selon l'âge .

LA COQUELUCHE Cette maladie, provoquée par une bactérie (Bordetella pertu ssis), est une infection aiguë des voies respiratoires.

La toux, suffocante , est facilement reconnaissable.

Des complications peuvent entraîner le décès, en particulier chez les enfants.

Il existe deux vaccins disponibles.

Le premier est un vaccin cellulaire, constitué de bacilles inactivés , présentant des effets secondaires non négligeables .

Le second, qui offre une bonne tolérance, est un vaccin acellulaire (constitué par des antigènes bactériens) .

Aujourd'hui, un deuxième rappel, entre 11 et 13 ans, est fortement recommandé car les enfants de cet âge constituent un réservoi r important du bacille .

maladie, provoquée par le virus ourlien (Paramyxovirus), est caractérisée par une inflammation des glandes parotides.

Les complications peuvent entraîner une méningite (3 cas sur 1 000), des pertes auditives, voire une atteinte testiculaire provoquant une stérilité.

Le vaccin est issu d'une souche virale atténuée.

Son efficacité, estimée par le taux de séroconversion (apparition d'anticorps dirigés contre le virus dans le sang), est de 97 %.

La vaccination recommandée comporte deux injections.

La varicelle Cette maladie est due à un virus (de type Herpe s viridae) qui pénètre par les voies respiratoires et se manifeste par une éruption cutanée caractéristique, souvent prurigineuse et évoluant en croûtes.

Les complications de la varicelle sont rares (encéphalite), mais chez une femme enceinte non immunisée, elle peut avoir des conséquences graves sur le fœtus.

Le virus peut se manifester une seconde fois sous forme de zona (atteinte des racines nerveuses ).

Un vaccin préparé à partir d'un virus vivant atténué existe depuis près de 30 ans, mais il n'est pas obligatoire en France.

Induisant une immunité moins forte que la maladie elle-même, il présente le risque de ne plus protéger un adulte, pour lequel la maladie présente sa forme la plus grave .

et du tissu cérébral.

Le vaccin (BCG) est constitué de bacilles vivants atténués.

Il peut être administré par scarification, par piqûres multiples , injection intradermique .

Un test d'efficacité de la vaccination est pratiqué moins d'un an après la vaccination, puis tous les 5 ans; il est effectué par cutiréaction, timbre tuberculinique, bague tuberculinique ou intradermoréaction (seule cette dernière pratique est reconnue par les organismes de santé internationaux ).

L'effet de la vaccination, qui diminue au cours du temps , n'est véritablement efficace que contre les formes de tuberculose évolutives.

Ce vaccin a été abandonné dans plusieurs pays européens.

infection , appelée maladie de Heine­ Medin ou poliomyélite aiguë, est par des à ARN Oes dont il existe 3 variants (types 1 à 3).

La maladie se traduit par une atteinte neurologique aboutissant à une paralysie le plus souvent irréversible.

La vaccination est obligatoire.

Il existe deux sortes de vaccins: une forme inactivée administrée par voie sous­ cutanée et un vaccin vivant atténué administré par voie orale.

Tous deux sont préparés à partir des trois variants du virus.

L'HtPATITE A ET B Le virus de l'hépatite B est transmis par le sang et les sécrétio n s sexuelles, tandis que celui de l'hépatite A se transmet souvent par contact avec de l'eau ou des aliments contaminés par les excréments d'une personne infectée.

Les symptômes classique s de l'hépatite sont : fatigue persistante , fièvre , nausées , maux de tête, perte de l'appétit et ictère Gaunisse) .

La vaccination contre l'hépatite B est maintenant conseillée dès le plus jeune âge, même si les risqu es de contamination ne surviennent qu'à l'adolescence.

Le vaccin est préparé à partir de virus génétiquement modifiés .

Il existe un vaccin combiné contre les hépatites A et B .

LA MtNINGITE A MtNING OCOQUES Beaucoup plus rare que les méningites virales, cette maladie (méningite cérébro-spinale classique) est provoquée par une bactérie , Neisseria meningitidis , dont il existe de nombreuses souches (A , B, C, X, Y, Z, 29-E et W-135 ).

Ses symptômes sont: début soudain de la maladie, forte lièvre (40 •C), maux de tête et raideur de la nuque .

Les vaccins disponibles sont dirigés contre les méningocoques A etC et non contre les B (qui ne permettent pas le développement d'un vaccin).

Ils ne sont donc pas adaptés à la situation épidémiologique de la France : méningite de type B (85 % des cas de méningite à méningocoque ), types C (18 %) et A (1,5 %).

Seule la vaccination contre le type C peut être envisagée en cas d'é p i dém ie locale (ici en Espagne , en 1997) .

L A RUBtOLE Cette maladie est provoquée par un virus (Rubivirus) .

Elle se traduit par une éruption cutanée, de la fièvre , des mau x de gorge, une irritation des yeux et des douleurs aux articulations.

Le vaccin, constitué des virus vivants atténués, est souvent associé à ceux de la rougeole et des oreillons.

Cette vaccination est formellement contre­ indiquée en cas de grossesse à cause de risques tératogènes induits par le virus.

Son efficacité est bonne (séroconversion de 99 %) et l'immunité se maintient au moins 20 ans.

maladie par un virus (Paramyxovirus ).

Après une période d'incubation de 10 jours, les symptômes se manifestent : fièvre (39 à 40 •c), éruption de points rouge s sur le visage puis le corps, petits points blancs à l'intérieur de la bouche (signe de Koplik) , anorexie, obstruction nasale, diarrhée .

Diverses complications sont possibles : oculaires (un tiers des cécités en Afrique ), digestives et surtout neurologique s (grave encéphalite dans 1 cas sur 1 000 à 2000 ou " panencéphalite » aboutissant à des paralysies définitives) .

La rougeole représente une des grandes causes de mortalité infantile dans les pays du tiers-monde.

Le vaccin est souvent associé à celui de la rubéole e t des oreillons.

C'est un vaccin vivant atténué , voire hyperatténué , préparé à partir de la souche Edmonston B.

LA GRIPPE Cette maladie est provoquée par des virus (Myxovir u s influenz. »

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