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Les transformations sociales et les systèmes socialistes au XIXe siècle

Publié le 28/06/2012

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Les communistes

Les autres écoles socialistes reprirent. en les transformant plus ou moins. les idées émises par Saint-Simon. Fourier ou Owen. Elles diffèrent considérablement. d'après le rôle qu'elle attrihuent à l'État dans la vie économique.

Le commumsme. qm ne laisse presque plus d'initiative à l'individu. fut défendu par Cabet. dont le roman. Voyage en Icarie, parut en 1840.

Louis Blanc

L'intervention d'une administration centrale était rejetée par le catholique Buchez, par Louis Blanc et par les ouvriers qui rédigeaient le journal l'Atelier. Ils étaient partisans d' associations ouvrières, c'est -à-dire de coopératives de production à direction ouvrière. Le salariat disparaîtrait et l'ouvrier toucherait le produit intégral de son travail.

« Les transformations sociales 1 311 Le régime capitaliste Après 1815.

l"anstocratie d'argent.

maîtresse de l'industrie.

du commerce.

de la banque.

accrut son rôle dans l'État.

En France les deux premiers ministères de Louis-Philippe eurent à leur tête des banquiers.

Laffite et Casimir Perier.

La bourgemste dirigea la vie politique en Belgique: elle obtint le droit de vote en Angleterre après la réforme électorale de 1832: elle siégea dans les assemblées des États allemands.

Partout.

elle gouverna au profit de ses intérêts matériels.

La bourgeoisie était passionnément attachée à la propriété et à la liberté économique.

En vertu du droit de propriété privée.

il est permis à une entreprise privée de posséder des instru­ ments de production (exploitations minières.

moyens de trans­ ports.

etc.).

qut jouent parfois un rôle capital dans la vie de la nation.

En vertu du principe de la liberté économique.

chaque entreprise travaille comme elle l'entend.

produisant autant qu'elle le peut.

vendant au prix qu'elle Juge le plus rémunéra­ teur.

dans la seule intention d'augmenter ses bénéfices pro­ pres: l'État ne doit limiter en rien la libre mitiative de!> chefs d'entreprise 1 De cette liberté découle la concurrence que ces entreprises se font entre elles.

Cette libre concurrence déve­ loppe l'esprit d'initiative des patrons et a souvent pour consé­ quence l'amélioration des produits et l'abaissement de leur prix de vente.

Ce régime économique.

fondé sur l'importance accordée à la propriété privée.

à la liberté économique.

à la libre concur­ rence .

est connu sous le nom de régime capitaliste ou.

plus simplement.

de capitalisme.

Il n'est pas sans dangers : chacun travaillant à sa guise dans le seul dessein de s'enrichir, tl y a souvent gaspillage d'efforts.

anarchie économique et des cnses de surproduction.

aussi désastreuses pour le patron obligé de fermer son atelier que pour l'ouvrier jeté au chômage.

Le sort tragique des ouvriers Parmt les ouvners.

les moms malheureux étatent ceux qut tra­ vaillatent comme compagnons dans l'atelier d'un artisan.

vtvant de la vte du patron et tratté par lm presque sur un pied d'éga- ( Le.., .ndustneh ~~ le~ propnéta1res françats demanda1ent cependant a l'État de les proteger.

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