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Les drames des sectes en france

Publié le 10/12/2016

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les sectes en France : les dangers  les conséquences des dérives sectaires peuvent affécter la sociétée et les individus à des niveaux différents,ce qui n'est pas sans incidences. 1)les Drames  De nombreuses sectes ont été a l'origine de drames inimaginable ,de meurtres de masse,de suicides et de sévices en tout genres perpétrés par des gourous manipulateurs à la tête de groupes de personnes obeissantes  et dévouées prêtes  à toutes les horreurs . nous avons malheureusement de nombreux exemples ayant défrayer la chronique comme la secte Aum Shinrikyo qui fut  fondée en 1984 par Shoko Asahara. Les membres de ce groupe ont été accusés plusieurs fois de détention de partisans contre leur gré. Chaque membre devait faire un don à la communauté. Des explosifs, armes biologiques et autres armes de guerre ont été trouvés au siège de Aum Shinrikyo. La police n’a pas pu empêcher leur attaque au gaz neurotoxique, dans le métro de Tokyo en 1995,qui fit 12 morts et 5500 blessés. Par la suite, une quantité de gaz neurotoxique suffisante pour tuer 4 millions de personnes a été découverte au sein de l’un de leurs bâtiments. On peut aussi prendre comme exemple la secte de La porte du Paradis Les adeptes de cette secte croient aux ovnis et à la destruction imminente de la terre. Selon les leaders du groupe, Marshall Applewhite et Bonnie Nettles, la seule façon d’échapper à ce destin est de créer leur propre fin. L...

« était convaincu qu'il y avait un vaisseau spatial dissimulé derrière la comète, prêt à accueillir leurs âmes afin de les sauver de la destruction de la terre.

Il a alors ordonné à 38 adeptes de se suicider, ce qu'ils firent. 2)lois Dans Le dispositif juridique français Il n'y a pas de définition juridique de la secte, pas plus qu'il n'y a de définition de la religion.

Respectueux de toutes les croyances et fidèle au principe de laïcité, le législateur s'est toujours refusé à définir les notions de sectes et de religions, afin de ne pas heurter les libertés de conscience, d'opinion et de religion garanties par les textes fondamentaux.  Pour autant, tout n'est pas permis au nom de la liberté de conscience ou de la liberté de religion.

En effet, l'absence de définition de la secte n'efface pas la réalité de l'existence de victimes de dérives de certains mouvements sectaires.

La loi fixe donc des bornes qui sanctionnent les abus de ces libertés, sous le contrôle du juge. Ainsi, le dispositif juridique français est à la fois pragmatique et textuellement encadré : il vise à la prévention et à la répression, non des sectes en elles-mêmes, mais des dérives sectaires. Cette notion de dérives sectaires s'est progressivement affinée par référence à des dispositions législatives et réglementaires, et sur la base de jurisprudences établies tant dans la sphère du droit privé que du droit administratif.  La notion de dérive sectaire n'est pas non plus définie par la loi.

Il s'agit en réalité d'un concept opératoire, permettant de déterminer un type de comportement bien précis qui appelle une réaction de la part de la puissance publique.

Son approche est à la fois pragmatique et textuellement encadrée. Pragmatique, car c'est sur la base de critères précisés par plusieurs commissions d'enquêtes parlementaires qu'a été élaboré un faisceau d'indices permettant de caractériser l'existence d'un risque de dérive sectaire : - la déstabilisation mentale - le caractère exorbitant des exigences financières, - la rupture avec l'environnement d'origine, - l'existence d'atteintes à l'intégrité physique,. »

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