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gérondif Dans certaines lang ues, formes correspondant à un mode du verbe à fonction substantive, exprimant l'action à accomplir.

Publié le 29/04/2014

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gérondif Dans certaines lang ues, formes correspondant à un mode du verbe à fonction substantive, exprimant l'action à accomplir. Le g érondif latin, en -ndum (-endum, -indum, etc.), correspond au neutre (invariable) de l'adjectif verbal en -ndus. gotique Lang ue g ermanique du g roupe oriental (ou « ostique ») disparue en Occident au VIIIe s., connue par une traduction de la Bible faite au IVe s. (Wulfila). Elle était parlée par les Wisig oths (on parle parfois d'ostrog otique pour la lang ue des Ostrog oths). -> g ermanique, g otique dans le dictionnaire. -- REM. On écrit g otique en ling uistique, mais g othique en histoire de l'art (pour un style qui n'a d'ailleurs rien à voir avec les Goths). graphie C 'est ce qu'on nomme communément l'orthog raphe (d'un mot), mais orthog raphe suppose le respect d'une règ le, alors que g raphie ne désig ne que la forme matérielle dans l'écriture, sans jug ement de valeur. -- Graphier s'emploie quelquefois pour « écrire (de telle ou telle façon) ». grec Lang ue indoeuropéenne en usag e dans la péninsule hellénique depuis le début du second millénaire avant l'ère chrétienne. Après le mycénien, le g rec est divisé en g roupes dialectaux (ionien et attique; arcadien et cypriote [Arcadie; Chypre], éolien, dorien); sauf le cypriote, tous ces dialectes emploient un alphabet qui contribuera à leur diffusion. Une lang ue conventionnelle à base d'ionien se dég ag e au VIIIe s. avec les épopées homériques; à partir du IVe s., le dialecte attique avec des modifications, devient la lang ue commune (koinê). On disting ue le mycénien (jusqu'à 1200 av. J.-C.), le g rec homérique (VIIIe s.), le g rec ancien classique (à base d'ionien et d'attique), VIIIe-IVe s. av. J.-C., le g rec hellénistique (IVe-Ier s. av. J.-C.), le g rec chrétien, le g rec d it « tardif » (Ier-IVe s.), le g rec byzantin (IVe-XVe s.), le g rec moderne (à partir du XIVe s.). Le g rec fut, après le latin, le plus g rand fournisseur d'emprunts au français (moyen français, surtout XVIe s. et français classique). En français moderne, il demeure, avec le latin, le plus g rand fournisseur de racines savantes et alimente les terminolog ies scientifiques et techniques dans toutes les lang ues indoeuropéennes. -> g rec, dans le dictionnaire. guarani Lang ue amérindienne du Parag uay, apparentée au tupi*. C'est, avec l'espag nol, l'une des deux lang ues officielles du Parag uay. guipuzcoan Dialecte basque du Guipuzcoa (Espag ne). gujrati Lang ue indo-aryenne occidentale de l'Inde parlée au Gujr?t (au nord du Mah?r?stra). hapax désig ne un mot, une forme que l'on n'a pu relever qu'une seule fois; il est employé le plus souvent comme équivalent d' attestation isolée : sauterie est un hapax à la fin du XVIe s.; il n'est relevé ensuite qu'au XIXe siècle. Hapax s'applique aussi à une forme : la g raphie caï man est un hapax en 1588, le début des attestations continues étant, selon les données actuelles, 1751. haplologie désig ne le phénomène par lequel on ne prononce et on n'écrit que l'une des deux articulations (en g énéral syllabes) répétées ou voisines. Exemple : le latin aestas p our °aestitas. harmonie C ombinaison d'éléments phonétiques considérée comme ag réable ou comme expressive par rapport à ce qui est désig né (harmonie imitative). L'assimilation est une harmonie (ou harmonisation) phonétique, notamment consonantique (exemple : cercher d onnant chercher). On appelle harmonie vocalique (des voyelles) ou harmonisation l a modification de voyelles -- lorsqu'elle est oblig atoire, systématique -- sous l'influence d'une voyelle voisine. haut-allemand => ALLEMAND hébreu Lang ue sémitique (nord-sémitique occidental) parlée par les Hébreux (les Beni Israël ou Ibrim) depuis la fin du second millénaire avant l'ère chrétienne (attestée au - Xe s.), utilisant un alphabet de consonnes. L'hébreu est la lang ue de la Bible (rédig ée du VIIIe au IIe s. av. J.-C.; livre de Daniel). L' hébreu biblique s'est préservé comme lang ue liturg ique et d'érudition, les communautés juives de la diaspora s'exprimant plutôt dans des dialectes de leur pays d'adoption. La lang ue a vu un renouveau littéraire (fin XVIIIe s.) et surtout politique (fin XIXe s.). Devenu en 1922 l'une des trois lang ues officielles de Palestine, l' hébreu moderne normalisé est la lang ue officielle d'Israël (1948) et compte effectivement environ 4 millions de locuteurs. -> hébreu, dans le dictionnaire. hérité de... se dit d'une forme française qui provient par évolution phonétique d'un étymon latin ou g ermanique dont elle est l'aboutissement*. Les mots hérités, en ancien français, proviennent soit du latin populaire (oral), soit de la lang ue g ermanique des Francs, l'ancien bas francique*. Ces derniers sont beaucoup moins nombreux que les mots issus du latin populaire, lesquels forment le fonds du français, par opposition aux emprunts* (au latin ou à d'autres lang ues), bien plus nombreux encore. hindi Lang ue indo-aryenne du g roupe central. Le hindi occidental (appelé hindoustani par Gilchrist en 1787), employé à Delhi, s'est répandu et est devenu la principale lang ue de l'Inde du Nord. Il comprend deux formes écrites, l' ourdou, d 'alphabet arabe et influencé par le persan (employé par les musulmans), et le hindi -- stricto sensu -- écrit avec des caractères indiens. Le hindi oriental est parlé plus à l'est, jusqu'à Bénarès. hittite Lang ue indoeuropéenne du g roupe anatolien, qui fut parlée jusqu'à environ 1200 avant notre ère, dans la Turquie actuelle. Elle a été déchiffrée en 1916 (B. Hrozný). -> indoeuropéen, dans le dictionnaire. hollandais P arler g ermanique de Hollande, composante essentielle de la lang ue officielle des Pays-Bas, le néerlandais*. homonyme se dit de formes lexicales de même nature phonétique (homophones), surtout lorsqu'il s'ag it d'une forme non fléchie (masculin sing ulier, infinitif). Les homonymes peuvent être homog raphes (écrits de la même façon) ou non homog raphes (exemple : mer, mère). Dans ce cas, ils ne sont qu' homophones. hongrois Lang ue finno-oug rienne parlée en Hong rie et par des minorités en Slovaquie, en Roumanie. C'est la lang ue de ce g roupe la plus ancienne et la plus parlée. hottentot Lang ue du g roupe « khoisan » (Afrique du Sud) parlée notamment en Namibie, et source d'emprunts passés par l'ang lais (ex. g nou). hybride se dit d'un composé dont les éléments de formation proviennent de lang ues différentes (exemple : monoling ue, de mono, du g rec et l ing ue, d u latin). hyperbole Expression (en g énéral, un syntag me) qui exprime plus que la sig nification ne le requiert (superlatifs, intensifs, etc.). Hyperbolique q ualifie la forme et le sens (d'un mot, d'une expression). hypercorrect qualifie une forme modifiée (reconstruite), pour corrig er un état supposé altéré (à tort), par un état plus conforme à la correction supposée (souvent par rapport à l'orig ine). hypocoristique se dit d'une expression affectueuse, caressante : diminutifs, formes à redoublements (le chienchien à sa mémère), appellatifs abrég és ou suffixés après abrég ement... ibère Lang ue inconnue, non-indoeuropéenne, qui fut parlée dans une partie de la péninsule ibérique avant les Celtes. Elle avait probablement des rapports avec le basque (-> basque, dans le dictionnaire). Après l'arrivée des Celtes, on parle, à propos de cette zone, de celtibère*. ibérique On appelle parlers ibériques l'ensemble des lang ues et dialectes romans de la péninsule ibérique. -> ibéro-roman. ibéro-roman Ensemble des parlers issus du latin populaire parlé dans la péninsule ibérique, appartenant au g roupe méridional des lang ues romanes. -> espag nol, catalan, romanes (lang ues), portug ais, dans le dictionnaire. idée Terme le plus g énéral désig nant l'aspect mental du sens d'une unité ou un élément de contenu que l'on peut assig ner à une expression (mot ou locution) [ idée g énérale p our les noms communs, les adjectifs, les verbes]. Idée s'emploie notamment à propos d'un élément de sig nification, notion et concept supposant en revanche que la totalité du contenu d'un sig ne est concernée. Dans ce dictionnaire, idée de... p eut introduire un élément de sens (la suite, synonyme, est alors entre g uillemets, comme après l e sens de...) ou un élément de pensée (hors lang ag e) et la suite est alors présentée sans g uillemets. Exemple : « l abeur, g ardant l'idée de peine, désig ne un travail pénible ». idiome Système ling uistique, lang ue, dialecte, parler, considéré comme appartenant en propre à une communauté de locuteurs. On considère parfois l'idiome, comme la lang ue, indépendamment des particularités constitutives de dialectes à l'intérieur de cet idiome. idiotisme Locution* en tant que propre exclusivement à un g roupe de locuteurs (qui partag ent un idiome) et sans équivalent exact dans les autres lang ues. Exemples : g allicisme (idiotisme du français), latinisme, g ermanisme, etc. illyrien Groupe de lang ues indoeuropéennes disparues, qui furent parlées par les Illyriens avant l'ère chrétienne. Outre l' illyrien proprement dit, ce g roupe comprenait le v énète, p arlé au nord-est de l'Italie (de Trieste à Padoue) avant les lang ues italiques, et le messapien, en Apulie et en Calabre. On y rapporte parfois le p hilistin. -- L'albanais, parlé dans ce qui fut l'Illyrie méridionale, ne semble pas appartenir à ce g roupe de lang ues. illyro-roman Ensemble des parlers romans issus du latin populaire parlés en Illyrie. -> dalmate. imperfectif se dit de l'aspect verbal d'une action considérée dans son cours, sa prog ression (cf. inchoatif), sans considérer son achèvement, son terme. Exemple : chercher, alors que trouver est perfectif.* implanter (s') se dit d'une forme, d'un sens qui, après des attestations rares ou exceptionnelles, entre dans le lexique, sans forcément devenir usuel (comme pour se répandre*). incertain se dit d'une orig ine, d'une étymolog ie* à propos de laquelle aucun accord n'a été obtenu. Elle correspond souvent à plusieurs hypothèses ég alement vraisemblables mais ég alement non prouvées. inchoatif ou inchoactif se dit d'une forme verbale exprimant l'idée d'une action à son début ou en prog ression (Cf. imperfectif). Inchoatif se dit aussi d'un morphème (suffixe) conférant cette valeur à un verbe. inconnu se dit en particulier d'une orig ine, d'une étymolog ie* à propos de laquelle aucune hypothèse acceptable n'a été émise. Un stade moins absolu de l'ig norance étymolog ique est exprimé par incertain, obscur. indéfini se dit d'un mot propre à un concept ou à une classe, envisag é g énéralement, et ne se rapportant pas à un objet déterminé. Article, pronom, adjectif indéfini. indiennes (langues) L'ensemble des lang ues indiennes d'Amérique (amérindiennes) est immense et très complexe. Powell disting uait en 1907, 56 familles de lang ues; on en compte aujourd'hui une centaine. Au début du XVIe s. on estime à 900 lang ues au moins la richesse ling uistique de l'Amérique indienne. Les auteurs des Lang ues du monde (sous la direction de Meillet et Cohen) classaient ainsi ces lang ues (de manière provisoire) : Amérique du Nord Famille alg onkin-wakash : alg onquin (g roupe comprenant le cree, le cheyenne et d'autres lang ues) et six autres g roupes. Famille eskimo-aleut : famille eskimo (-> inuit) et famille aleut (lang ues aléoutiennes). Famille hoka-siou : hoka (Californie) avec d'autres familles; iroquois*, muskog ee (dont le creek); la famille siou (Sioux) qui comprend de nombreux g roupes, appartient au même ensemble. D'autres g randes familles : « na-dene » (athapasca, etc), penutia (dont le chinook) se partag eaient les Plaines (la prairie) et les Rocheuses avec la famille uto-aztec, qui comprend des lang ues parlées du Colorado au Mexique (notamment le nahuatl*, dont un dialecte, parlé à Mexico, correspondait à l'aztèque « classique »). Au sud du Mexique commence l'aire des lang ues maya-soke, comprenant le g roupe maya-quiché* (dont le maya du Yucatán, le tseltal, le totomak) et de très nombreux autres g roupes. Parmi les lang ues d' Amérique du Sud -- elles aussi très nombreuses (108 familles de lang ues recensées, certaines très riches) -- on disting ue à des fins utilitaires (notoriété et rapports avec l'Europe), la famille araukan (Chili), la famille arawak (qui fut parlée aux Antilles où elle a disparu, dans le bassin de l'Orénoque et en Amazonie, dans les Andes, etc.), la famille aymará du Pérou, la famille bororó (Mato Grosso, Parag uay), la famille karib très dispersée (du sud de l'Amazone à la zone encore appelée C araï bes), la famille quichua, à laquelle appartient la lang ue de civilisation des Incas, la famille tupi-g uarani*, source d'emprunts pour l'espag nol, le français, etc. indo-aryen N om donné aux lang ues indo-iraniennes anciennes, qui furent celles des Vedas (-> védique), avant d'être codifiées sous la forme du sanskrit (-> sanskrit), l es parlers vernaculaires étant nommés p râkrits. Après le védique et l' indo-aryen ancien, apparaissent le p âli, l e moyen indien, enfin l' indo-aryen moderne, q ui fournit les lang ues de l'Inde actuelle (à l'exception des lang ues dravidiennes du sud) et de la majorité de Sri Lanka. Les principales sont le hindi, le pendjabi, le beng ali, le bihari, l'oriya, l'assamais, le cing halais. Le tsig ane appartient aussi à ce g roupe. -> indoeuropéen 2, dans le dictionnaire. indoeuropéen (ou indo-européen) Famille de lang ues à laquelle se rattachent la plupart des lang ues d'Europe, notamment celles qui se sont diffusées en Amérique, en Afrique et en Asie. Les lang ues romanes, avec le français, les lang ues g ermaniques, slaves, etc., en font partie. -> indoeuropéen, dans le dictionnaire. indo-iranien Groupe de lang ues indoeuropéennes comprenant l'indo-aryen* (sanskrit) et l'iranien. -> indoeuropéen. indonésien 1. Ensemble de lang ues du g roupe malayo-polynésien parlées dans le Sud-Est asiatique : Taiwan, Philippines. Indonésie : Bornéo, Célèbes, Java, Sumatra, Malaisie, Madag ascar. 2. Lang ue officielle d'Indonésie (bahasa indonesia), basée sur le malais*. indoubil P arler mixte, à base de français et de ling ala, pratiquée en milieu populaire à Kinshasa (Cong o). infectum En latin, temps de l'action non achevée (opposé à perfectum, parfait) : imparfait, futur, subjonctif, infinitif, formes dérivées du thème du présent. infixe => AFFIXE inflexion s'est dit pour flexion*. -- Inflexion vocalique, chang ement de timbre d'une voyelle sous l'influence d'un phonème voisin. instrumental se dit des cas ou des constructions correspondant aux instruments de l'action (en français : avec, par, au moyen de...). intensif se dit d'une unité qui met en relief une notion, insiste sur son contenu affectif. Certains fréquentatifs sont aussi des intensifs

« hé bre u L ang ue s é m itiq ue ( n o rd -s é m itiq ue o ccid enta l) p arlé e p ar l e s H éb re ux ( le s B eni I s ra ël o u I b rim ) d ep uis l a f in d u s e co nd mil lé nair e a v ant l ’è re c hré tie nne ( a tte sté e a u – X e s .) , u til is a nt u n a lp hab et d e c o nso nnes.

L ’h éb re u e st l a l a ng ue d e l a B ib le ( ré d ig ée du VIII e a u II e s .

a v .

J .- C .; l iv re d e D anie l).

L ’ héb re u b ib liq ue s ’e st p ré se rv é c o m me l a ng ue l itu rg iq ue e t d ’é ru d itio n, l e s co m munauté s ju iv es d e l a d ia sp ora s ’e x prim ant p lu tô t d ans d es d ia le cte s d e l e ur p ay s d ’a d optio n.

L a l a ng ue a v u u n r e no uv eau litté ra ir e ( fin XV III e s .) e t s u rto ut p olitiq ue ( fin XIX e s .) .

D ev enu e n 1 922 l ’u ne d es tr o is l a ng ues o ffic ie lle s d e P ale stin e, l ’ héb re u modern e n o rm alis é e st l a l a ng ue o ffic ie lle d ’Is ra ël ( 1 948) e t c o m pte e ffe ctiv em ent e nv ir o n 4 m il lio ns d e l o cute urs .

→ h éb re u, d ans le d ic tio nnair e . hé rit é d e... s e d it d ’u ne f o rm e f ra nçais e q ui p ro vie nt p ar é v olu tio n p ho nétiq ue d ’u n é ty m on l a tin o u g erm aniq ue d ont e lle e st l’a b outis se m ent* .

L es mots h érité s, e n a ncie n f ra nçais , p ro vie nnent s o it d u l a tin p opula ir e ( o ra l), s o it d e l a l a ng ue g erm aniq ue d es Fra ncs, l ’a ncie n b as f ra nciq ue*.

C es d ern ie rs s o nt b eauco up m oin s n o m bre ux q ue l e s m ots is su s d u l a tin p opula ir e , l e sq uels f o rm ent le f o nd s d u f ra nçais , p ar o ppositio n a ux e m pru nts * ( a u l a tin o u à d ’a utr e s l a ng ues), b ie n p lu s n o m bre ux e nco re . hin d i L ang ue in d o-a ry enne d u g ro up e c entr a l.

L e hin d i o ccid enta l ( a p pelé hin d ousta ni p ar G il c hris t e n 1 787), e m plo yé à D elh i, s’e st r é p and u e t e st d ev enu l a p rin cip ale l a ng ue d e l ’In d e d u N ord .

I l c o m pre nd d eux f o rm es é crite s, l ’ ourd ou, d ’a lp hab et a ra b e e t in flu encé p ar l e p ers a n ( e m plo yé p ar l e s m usu lm ans), e t l e hin d i — s tr ic to s e nsu — é crit a v ec d es c ara ctè re s in d ie ns.

L e hin d i orie nta l e st p arlé p lu s à l ’e st, ju sq u’à B énarè s. hit tit e L ang ue in d oeuro péenne d u g ro up e a nato lie n, q ui f u t p arlé e ju sq u’à e nv ir o n 1 200 a v ant n o tr e è re , d ans l a T urq uie a ctu elle . Elle a é té d échif fré e e n 1 916 ( B .

H ro zný ).

→ in d oeuro péen, d ans l e d ic tio nnair e . ho lla nd ais P arle r g erm aniq ue d e H olla nd e, c o m posa nte e sse ntie lle d e l a l a ng ue o ffic ie lle d es P ay s-B as, l e n éerla nd ais * . ho m onym e s e d it d e f o rm es l e x ic ale s d e m êm e n atu re p ho nétiq ue ( h o m opho nes), s u rto ut l o rs q u’il s ’a g it d ’u ne f o rm e n o n f lé chie (m asc ulin s in g ulie r, in fin itif ). Les h o m ony m es p euv ent ê tr e ho m og ra p hes ( é crits d e l a m êm e f a ço n) o u n o n h o m og ra p hes ( e x em ple  : mer, m ère ).

D ans c e c as, il s ne s o nt q u’ ho m opho nes. ho ngro is L ang ue f in no -o ug rie nne p arlé e e n H ong rie e t p ar d es m in o rité s e n S lo vaq uie , e n R oum anie .

C ’e st l a l a ng ue d e c e gro up e l a p lu s a ncie nne e t l a p lu s p arlé e. ho tte nto t L ang ue d u g ro up e « k ho is a n » ( A friq ue d u S ud ) p arlé e n o ta m ment e n N am ib ie , e t s o urc e d ’e m pru nts p assé s p ar l’a ng la is ( e x .

gno u ). hyb rid e s e d it d ’u n c o m posé d ont l e s é lé m ents d e f o rm atio n p ro vie nnent d e l a ng ues d if fé re nte s ( e x em ple  : mono lin g ue, d e mono , du g re c e t lin g ue, d u l a tin ). hyp e rb o le E xpre ssio n ( e n g énéra l, u n s y nta g m e) q ui e x prim e p lu s q ue l a s ig nif ic atio n n e l e r e q uie rt ( s u p erla tif s , in te nsif s , e tc .) . Hyperb oliq ue q ualif ie l a f o rm e e t l e s e ns ( d ’u n m ot, d ’u ne e x pre ssio n). hyp e rc o rre ct q ualif ie u ne f o rm e m odif ié e ( re co nstr u ite ), p our c o rrig er u n é ta t s u p posé a lté ré ( à to rt) , p ar u n é ta t p lu s c o nfo rm e à l a c o rre ctio n s u p posé e ( s o uv ent p ar r a p port à l ’o rig in e). hyp o co ris tiq ue s e d it d ’u ne e x pre ssio n a ffe ctu euse , c are ssa nte  : d im in utif s , f o rm es à r e d oub le m ents (le c hie nchie n à s a mém ère ), a p pella tif s a b ré g és o u s u ffix és a p rè s a b ré g em ent... ib è re L ang ue in co nnue, n o n-in d oeuro péenne, q ui f u t p arlé e d ans u ne p artie d e l a p énin su le ib ériq ue a v ant l e s C elte s.

E lle a v ait pro bab le m ent d es r a p ports a v ec l e b asq ue (→ b asq ue, d ans l e d ic tio nnair e ). A prè s l ’a rriv ée d es C elte s, o n p arle , à p ro pos d e c ette zo ne, d e c eltib ère *.. »

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