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fiche de lecture sur Rousseau, du contrat social chapitre 1 et 4, Hobbes le léviathan chapitre 13 et 14

Publié le 31/10/2013

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Lopez Laurie Fiche de lecture Jean-Jacques Rousseau, du contrat social Chapitre Premier : sujet de ce premier livre « L'homme est né libre, et partout il est dans les fers « Rousseau affirme que l'homme est libre, mais une grande partie se fait diriger par une minorité. « Qui est qui peut le rendre légitime ? « Rousseau cherche savoir comment les personnes ont pu en arriver là. Il admet qu'un peuple peut vivre dans une obéissance aliénante. Tout peuple peut parvenir à changer de vision d'obéissance : une plus grande liberté politique et civique. Nous sommes tous contraints, ceci est l'ordre des choses en rentrant dans une société : « mais l'ordre social et un droit sacré, qui sert de base à tous les autres «. Dans ce premier chapitre propose sa thèse, il va cherche à découvrir par quelle convention l'homme est contraint. Chapitre Quatre : de l'esclavage L'esclavage est illégitime. Grotius affirme que tout peuple peut aliéner leur liberté pour se rendre sujet d'un roi comme un homme devient l'esclave d'un maître. « Aliéner c'est donner ou vendre. Or un homme qui se fait esclave d'un autre ne se donne pas, il se vend, tout au moins pour sa subsistance : mais un peuple, pour quoi se vend-il « Rousseau parle de la tranquillité civile sauf que les rois, on a certain moment des appétits.  La raison principale de Rousseau pour affirmer que l'esclavage est illégitime : celui qui est mis en esclavage ne peut pas le vouloir volontairement- en tout cas s'il est sain d'esprit. L'esclavage est donc toujours le fruit d'une contrainte extérieure et il ne saurait donc être légitime Rousseau répond à Grotius que même si un homme avait le droit de s'aliéner auprès d'un maître il ne pourrait le faire pour ses enfants « ils naissent hommes et libres ; leur liberté leur appartient, nul n'a droit d'en disposer qu'eux «.&n...
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« détruisent pas les biens priv és   :  «   M ême en pleine guerre un prince juste s’empare bien en pays ennemi de tout ce qui   appartient au public, mais il respecte la personne et les biens des particuliers   ; il respecte des droits sur lesquels sont   fond és les siens   »  selon Rousseau,  à partir du moment o ù l’homme d épose les armes ce n’est plus une menace.  Enfin, Grotius n’a que pour fondement la loi du plus fort. Pouvoir faire un homme esclave n’est pas venu du droit de   tuer, mais c’est un  échange inique.  Ces personnes ont donc cr éé une convention de l’esclavage, ils ne surprirent surtout   pas la guerre, il la continue.  Aucune personne n’a droit sur une autre, les mots esclavage  être droit sont contradictoire, car c’est ill égitime et que ce   droit est absurde.  · Hobbes,  le L éviathan   - Chapitre treize      : de la condition naturelle des hommes en ce qui concerne leur f élicit é et leur mis ère.  Ce Treizi ème chapitre du L éviathan a pour th ème   : la guerre et les hommes. Hobbes va mettre en  évidence pour lequel   les hommes sont toujours attir és à se faire la guerre et trouver des raisons dans les lois fondamentales.  Les hommes ont naturellement des aptitudes  égales. Les hommes sont  égaux par rapport aux facult és du corps et de   l’esprit. Chaque homme peut avoir des facult és plus grandes qu’un autre (corporelle ou intellectuelle) pour dominer.

  Les facult és de l’esprit seraient l’ égalit é la plus parfaite. Les hommes ont mal  à croire que d’autres peuvent avoir la   m ême sagesse.  «   Car ils voient leur propre esprit de tout pr ès et celui des autres de loin   » Les hommes sont dans leurs natures plus  égales qu’in égales.  «   Car d’ordinaire, il n’y a pas de meilleur signe d’une   distribution  égale de quoi que ce soit, que le fait que chacun est satisfait de sa part   »  L’origine de la violence chez les hommes.  «   C’est pourquoi, si deux hommes d ésirent la m ême chose alors qu’il n’est pas   possible qu’ils en jouissent tous les deux, ils deviennent ennemi   »  la violence viendrait de l’ égalit é entre les hommes,   car ils veulent tous dominer donc il devienne ennemi et l’un dans d’eux devient le faible. Il y aura toujours une   concurrence entre les hommes. Ils peuvent s’entraider, mais il y aura toujours agresseur nouveau. Certains hommes   voudront toujours avoir le dernier mot et  écraser les autres. Cette partie de la population veut le pouvoir, ils veulent   toujours plus. «   En, cons équence, un tel accroissement de l’empire d’un homme sur un autre,  étant n écessaire  à sa   conservation, doit  être permis   »  Les hommes cherchent souvent une personne sup érieure afin de canaliser la population.  La guerre est l’ état naturel de l’homme. Selon Hobbes, il y a trois causes a la guerre   : la rivalit é qui entraine   l’offensive des hommes (sur sa famille, biens) donc la violence apr ès il y a la m éfiance pour leur s écurit é, mais se   r ésum é a des confits sans aucun int érêt. Enfin, les hommes sont fiers, ils veulent d éfendre leur famille, leurs biens. Les   hommes ont besoin d’une personne sup érieure, car ils ne peuvent pas se canaliser seuls ce qui entraine une guerre   perp étuelle.  «   De m ême nature de la guerre ne consiste pas dans un combat effectif, mais dans une disposition av érée,   allant dans se sens, aussi longtemps qu’il n’y a pas d’assurance du contraire   »  A chaque fois que les hommes sont guerre, le reste de la vie ne fonctionne pas   : le commerce, la culture et alors  « la vie   de l’homme est alors solitaire, besogneuse, p énible, quasi animale, et br ève   ». »

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