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Faut-il manger pour vivre ou vivre pour manger ?

Publié le 22/02/2012

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Erreur à éviter Prendre le sujet au premier degré, la référence à Molière suggère une réflexion plus large sur l'avarice et la générosité ; au croisement des deux : l'interrogation sur la société de consommation. CORRIGÉ Inspirée par le discours d'Harpagon, l'avare par définition, cette parodie de Molière pose le problème de la société de consommation. Dans les années 70, la fièvre acheteuse des ménages se propageait à grande vitesse ; il semble que la crise économique ait mis un terme à cette compulsion pathologique. Mais, en fait, la sphère marchande ne cesse de s'insinuer dans tous les domaines de la vie — n'a-t-on pas vu, aux Etats-Unis, des marques sponsoriser des écoliers ? On peut donc se demander si, de nos jours, l'économie n'est pas devenue l'unique valeur de nos sociétés.

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