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ACCORAMBONI Vittoria

Publié le 07/10/2017

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ACCORAMBONI Vittoria [ou Accoram-bona ou Corombona]. Personnage de la tragédie de John Webster le Démon blanc (1612). Sur le fond de la vie des cours italiennes, que l'imaUnation populaire anglaise, au xviie s., se representait comme magnifique, sinistre et corrompue tout à la fois, se dresse, très haute, la mystérieuse figure de Vittoria Accoramboni, nièce de Sixte Quint, mêlée à d'obscurs et sanglants épisodes de la Renaissance. Appelée «fameuse courtisane véni-

« 310 AUT ORITÉS.

-On appelait «autorités » (au pluriel) la Bible, les Évangil es, les Actes des apôtre s, les écrits des Pères de l'Égli se, etc.

Jusque très avant dans le XVII• siècle, il était interdit de prof esser une thèse scientifique qui fût en désaccord avec ces textes.

Par exem ple, Galilée fut condamné parceque sa thèse (celle de Copernic, qu'il avait reprise) se trouvait en contradiction avec un passage d'une lettre de saint Paul.

A noter que les écrits d'Aristote furent considérés, à partir du XIII • siècl e, comme " fa isant autorité », à l'é gal des textes sacr és.

BALISTIQUE.

-Courbe balistique : Se dit d'une courbe qui est analogue à celle d'un projectile (d'un obus, par ex., ou d'une balle de fusil).

CAUSE.

-Ce mot, communément employé dans la conver­ sation courante, ne doit pas nous faire illusion.

L'utiliser, soit J Mais ne pas en être dupe.

Pris à la rigueur, il signifierait : ce qui engendre un effet sans être engendré soi-même.

Une sorte de « commencement premier ».

Malebranche dira très justement : " Dieu seul est cause ».

(Consulter Ed.

Goblot, Logique, pour l'examen critique de ce terme, dont l'emploi, en philosophie des science s, est souvent impropre, même au sens d'antécédent constant : car un phénomène résulte presque touj ours d'un ensemble de conditions dont chacune est nécessaire, dont aucune n'est suffisante) ...

CAUSES SECONDES.

-Expression vieillie.

On s'en servait autref ois pour désigner les raisons intelligibles des phénomènes, par opposition à «c ause première » (cette cause première étant Dieu).

CONCEPT.

-Idée abstraite et génér ale.

Concep t s' emploie surtout pour une idée (abstraite et général e) appartenant aux sciences, aux dis ciplines diverses.

On dira : le concept de Vertébré, de triangl e, de démocra tie, de nombre, etc ...

Il semblerait, au contrai re, bizarre de dire : le concept de maison, d'encrier, de chapeau, etc., même si l'on peut avoir de ces objets une idée général e.

CON STAT IF.

-Mot (adj.) employé volontiers par A.

Laland e.

De constater, par opposition à « expliquer », à «juger (favor ablement ou défavora blement) ».

CONTINGENT.

-C'est ce qui pourrait arriver ou ne pas arriver, ce qui aurait pu ne pas arriver.

Par opposition à « nécessaire ».

CONTRAD ICTOIRES.

-En logique, se dit de propositions telles que, si l'une est vraie, l'autre est nécessairement fausse.

Et invers ement.

Ne pas confondre avec contraires.

Deux propositions peuvent être contra ires, sans être contradi ctoires.

COSMOS.

-Le sens premier de ce mot est ordre, harmonie, beauté (cf.

produits cosmétiques) .

De là, on a passé à l'idée du ]�{onde.

Notez que le latin mundus a, lui aussi, le même sens premier.

[cf.

le vieil adjectif français mondé, participe passé du verbe monder : purifier, nettoyer ...

De l'orge monde].. »

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